Depuis que le Idi Amin Dada sénégambien est au pouvoir en Gambie, l’intégrité territoriale de notre pays est constamment menacée par son soutien multiforme à la rébellion casamançaise dont plusieurs contingents forment sa garde prétorienne. Yaya Diémé , militaire psychopathe , guérisseur, marabout ( d’après le griot Thione Seck) , chef de village de Kanilai nous rappelle à certains dirigeants ubuesques comme Bokassa ,Idi Amin Dada dont la cruauté se disputait avec la bêtise. Comment dans ce pays ou 42% de la population est mandingue, 18% de
la population peulh ,16% de Wolof Yaya Diémé puisse mettre en place un régime mono ethnique Diola qui ne sont que 10% des gambiens .Pour ce faire il a liquidé physiquement, ou exilé la plus part des officiers mandingues wolofs et peuls. Présidant un état mono ethnique Yaya Diémé ne pouvait être que paranoïaque ;ce qui montre la fragilité de son régime. La plus part des pays africains au nom de leur intérêts nationaux vitaux gèrent sans états d’âme l’espace de leur proximité stratégique et géographique. Tout prés de nous devant l’incurie du pouvoir malien face aux salafistes qui menaçaient son territoire, la Mauritanie a créé un mouvement armé touareg le MNLA, quitte à démembrer le Mali ,mais l’essentiel était de sécuriser son territoire. Avec la faiblesse du pouvoir central congolais ,le Rwanda a crée un glacis dans la région du Kivu en entretenant des groupes rebelles tutsi, ce qui lui permet de piller les ressources minières de cette zone ; Personne n’ignore le rôle joué par le Burkina Faso pour déstabiliser le régime de Gbagbo qui martyrisaient ses citoyens, en faisant d’Ouagadougou le siège de la rébellion du Nord . Le Sénégal a beaucoup plus d’intérêts en Gambie que ces pays qui interviennent chez les voisins. Face à la chute prochaine du régime de Yaya Diémé , notre pays devra s’assurer de la prise du pouvoir en Gambie par un régime inféodé à nos intérêts nationaux .
Pour ce faire notre pays devra prendre contact avec l’opposition gambienne et surtout en créant un front armé de libération composé d'ex officiers mandingues, peuls et wolofs gambiens en exil. Ce mouvement armé gambien aura ses bases arrières à Kolda ,Medina Sabakh,
ou Gouloumbou ;et l’arrêt du bac devra être considéré comme un casus belli qui poussera le Sénégal à l’occuper . Et Dieu sait qu’on a une pléthore d’officiers sénégalais spécialistes dans la guerre subversive formés à Fort Bragg , Saint-Cyr ou Sandhurt qui pourront mettre en
œuvre cette politique d’instauration de la Sénégambie. Les présidents Abdou Diouf et Abdoulaye Wade occidentalisés considéraient sous
un regard condescendant Yaya Diémé le grand Egnab . Il nous faudra rejoindre Yaya Diémé dans sa logique d’egnab ,de violence , de
fétichisme et de tribalisme pour mieux le combattre, afin qu’il sache que Fodé Kaba Doumbouya et Saer Maty Ba étaient des sénégalais qui ont eu à contrôler militairement la Gambie
Espérons que notre actuel Président Macky Sall de caste hal poular thiedo (guerrier) saisira cette opportunité pour résoudre définitivement le problème sénégambien qui n’a que trop duré et que n’a pas pu régler le domou ndar "civilisé" Abdou Diouf au début des années 80.
Amadou Bakhao DIAW diaogo.nilsen@gmail.com
la population peulh ,16% de Wolof Yaya Diémé puisse mettre en place un régime mono ethnique Diola qui ne sont que 10% des gambiens .Pour ce faire il a liquidé physiquement, ou exilé la plus part des officiers mandingues wolofs et peuls. Présidant un état mono ethnique Yaya Diémé ne pouvait être que paranoïaque ;ce qui montre la fragilité de son régime. La plus part des pays africains au nom de leur intérêts nationaux vitaux gèrent sans états d’âme l’espace de leur proximité stratégique et géographique. Tout prés de nous devant l’incurie du pouvoir malien face aux salafistes qui menaçaient son territoire, la Mauritanie a créé un mouvement armé touareg le MNLA, quitte à démembrer le Mali ,mais l’essentiel était de sécuriser son territoire. Avec la faiblesse du pouvoir central congolais ,le Rwanda a crée un glacis dans la région du Kivu en entretenant des groupes rebelles tutsi, ce qui lui permet de piller les ressources minières de cette zone ; Personne n’ignore le rôle joué par le Burkina Faso pour déstabiliser le régime de Gbagbo qui martyrisaient ses citoyens, en faisant d’Ouagadougou le siège de la rébellion du Nord . Le Sénégal a beaucoup plus d’intérêts en Gambie que ces pays qui interviennent chez les voisins. Face à la chute prochaine du régime de Yaya Diémé , notre pays devra s’assurer de la prise du pouvoir en Gambie par un régime inféodé à nos intérêts nationaux .
Pour ce faire notre pays devra prendre contact avec l’opposition gambienne et surtout en créant un front armé de libération composé d'ex officiers mandingues, peuls et wolofs gambiens en exil. Ce mouvement armé gambien aura ses bases arrières à Kolda ,Medina Sabakh,
ou Gouloumbou ;et l’arrêt du bac devra être considéré comme un casus belli qui poussera le Sénégal à l’occuper . Et Dieu sait qu’on a une pléthore d’officiers sénégalais spécialistes dans la guerre subversive formés à Fort Bragg , Saint-Cyr ou Sandhurt qui pourront mettre en
œuvre cette politique d’instauration de la Sénégambie. Les présidents Abdou Diouf et Abdoulaye Wade occidentalisés considéraient sous
un regard condescendant Yaya Diémé le grand Egnab . Il nous faudra rejoindre Yaya Diémé dans sa logique d’egnab ,de violence , de
fétichisme et de tribalisme pour mieux le combattre, afin qu’il sache que Fodé Kaba Doumbouya et Saer Maty Ba étaient des sénégalais qui ont eu à contrôler militairement la Gambie
Espérons que notre actuel Président Macky Sall de caste hal poular thiedo (guerrier) saisira cette opportunité pour résoudre définitivement le problème sénégambien qui n’a que trop duré et que n’a pas pu régler le domou ndar "civilisé" Abdou Diouf au début des années 80.
Amadou Bakhao DIAW diaogo.nilsen@gmail.com