Ce document, dont une copié a été transmise à l’APS, est réalisé par le forum du Pew Research Center sur la religion et la vie publique. Il s’intéresse notamment à la taille, la répartition et la croissance de la population musulmane.
L’étude révèle que pendant les deux prochaines décennies, la population musulmane mondiale devrait augmenter à un rythme deux fois plus important que celui de la population non-musulmane, soit à un taux de croissance annuel de 1,5% pour les musulmans par rapport à 0,7% pour les non-musulmans.
Si les tendances actuelles se confirment, mentionne le document, les musulmans constitueront 26,4% de la population mondiale estimée à 8,3 milliards en 2030. Ils représentent 23,4% de la population mondiale qui est de 6,9 milliards en 2010.
Au moment où une croissance rapide de la population musulmane est attendue, les chercheurs annoncent un ralentissement de la croissance chez les non-musulmans, dans les 20 prochaines, contrairement aux 20 années précédentes.
De 1990 à 2010, le nombre de musulmans dans le monde a crû à un taux annuel de 2,2%. Sur la période 2010-2030, le taux de croissance est projeté à 1,5% par an.
Le rapport indique en outre que si les tendances actuelles se confirment, dans 30 ans, 79 pays compteront au moins un million de musulmans parmi leur population, contre 72 pays en ce moment.
Le rapport prévoit une majorité de musulmans (environ 60%) qui continuera à vivre dans la région Asie-Pacifique, tandis qu’environ 20% seront au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, comme c’est le cas aujourd’hui.
Il annonce également que le Pakistan devrait dépasser l’Indonésie, comme étant le pays qui regroupe le plus grand nombre de musulmans.
Sur la même lancée, il prévoit une croissance du nombre de musulmans vivant en Afrique sub-saharienne, en soulignant que dans 20 ans, il y aura plus de musulmans au Nigéria qu’en Egypte.
Comme en 2010, environ les trois quarts de la population musulmane mondiale (74,1%) vivent dans 49 pays dans lesquels ils constituent la majorité de la population, lit-on dans le document.
Il fait remarquer que seuls 3% de la population mondiale vivent dans les régions dites ‘’développées’’ comme l’Europe, l’Amérique du Nord, l’Australie, la Nouvelle Zélande et le Japon.
APS
L’étude révèle que pendant les deux prochaines décennies, la population musulmane mondiale devrait augmenter à un rythme deux fois plus important que celui de la population non-musulmane, soit à un taux de croissance annuel de 1,5% pour les musulmans par rapport à 0,7% pour les non-musulmans.
Si les tendances actuelles se confirment, mentionne le document, les musulmans constitueront 26,4% de la population mondiale estimée à 8,3 milliards en 2030. Ils représentent 23,4% de la population mondiale qui est de 6,9 milliards en 2010.
Au moment où une croissance rapide de la population musulmane est attendue, les chercheurs annoncent un ralentissement de la croissance chez les non-musulmans, dans les 20 prochaines, contrairement aux 20 années précédentes.
De 1990 à 2010, le nombre de musulmans dans le monde a crû à un taux annuel de 2,2%. Sur la période 2010-2030, le taux de croissance est projeté à 1,5% par an.
Le rapport indique en outre que si les tendances actuelles se confirment, dans 30 ans, 79 pays compteront au moins un million de musulmans parmi leur population, contre 72 pays en ce moment.
Le rapport prévoit une majorité de musulmans (environ 60%) qui continuera à vivre dans la région Asie-Pacifique, tandis qu’environ 20% seront au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, comme c’est le cas aujourd’hui.
Il annonce également que le Pakistan devrait dépasser l’Indonésie, comme étant le pays qui regroupe le plus grand nombre de musulmans.
Sur la même lancée, il prévoit une croissance du nombre de musulmans vivant en Afrique sub-saharienne, en soulignant que dans 20 ans, il y aura plus de musulmans au Nigéria qu’en Egypte.
Comme en 2010, environ les trois quarts de la population musulmane mondiale (74,1%) vivent dans 49 pays dans lesquels ils constituent la majorité de la population, lit-on dans le document.
Il fait remarquer que seuls 3% de la population mondiale vivent dans les régions dites ‘’développées’’ comme l’Europe, l’Amérique du Nord, l’Australie, la Nouvelle Zélande et le Japon.
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