Les choses avancent à grands pas. En effet, selon une source au parfum de tout ce qui se trame du côté du palais Présidentiel et du Ministère de la Justice, les autorités étatiques sont en train de dessiner les contours d’une haute Cour de Justice. Selon une autre source proche du parquet, et comme le stipule la loi, seule cette cour sera habilitée à juger des ministres qui seront épinglés dans les audits enclenchés par les nouvelles autorités qui, en aucun cas, ne peuvent être jugés par une juridiction ordinaire, s’il s’avère que leur culpabilité est prouvée par les résultats des enquêtes en cours.
C’est le cas des personnalités comme Pape Diop, Président du sénat, d’anciens ministres d’Etats : Karim Wade, Ousmane Ngom, Awa «coudou» Ndiaye, pour ne citer que ceux-là. Un haut magistrat pourrait être choisi pour diriger cette cour. Comme dans le cas des chantiers de Thiès, l’assemblée nationale sera ainsi saisie, pour la mise en place de cette haute cour qui sera composée de magistrats et de membres de l’hémicycle. Au regard de la configuration de l’actuelle Assemblée nationale, composée en majorité de libéraux, la mise en place de la haute cour se fera après l’installation de la 12ème législature, c'est-à-dire après les législatives du 1er juillet prochain, confie un membre influent de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar.
Sékou Dianko DIATTA
REWMI QUOTIDIEN
C’est le cas des personnalités comme Pape Diop, Président du sénat, d’anciens ministres d’Etats : Karim Wade, Ousmane Ngom, Awa «coudou» Ndiaye, pour ne citer que ceux-là. Un haut magistrat pourrait être choisi pour diriger cette cour. Comme dans le cas des chantiers de Thiès, l’assemblée nationale sera ainsi saisie, pour la mise en place de cette haute cour qui sera composée de magistrats et de membres de l’hémicycle. Au regard de la configuration de l’actuelle Assemblée nationale, composée en majorité de libéraux, la mise en place de la haute cour se fera après l’installation de la 12ème législature, c'est-à-dire après les législatives du 1er juillet prochain, confie un membre influent de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar.
Sékou Dianko DIATTA
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