Dernières trouvailles des généraux et des responsables politiques algériens, le Royaume du Maroc et le Qatar seraient les instigateurs de la tentative d’assassinat du Président mauritanien, Monsieur Mohamed Ould Abdelaziz du 13 octobre 2012.
Qui dit mieux ? Personne. Hormis les autorités algériennes !!!
Une tentative algérienne pour discréditer deux pays qui s’est au final avérée vaine puisque le peuple et la classe politique mauritaniens ont balayé d’un coup de main magistral cette information mensongère qui porte atteinte aux bonnes relations avec son voisin le Royaume du Maroc mais aussi avec le Qatar.
Une information mensongère, d’ailleurs largement relayée par les médias algériens à la solde du Palais d’Al Mouradia mais aussi par certains médias mauritaniens hostiles au Maroc et qui émargent allègrement sur les tablettes des services algériens comme Aqlame.
Le Maroc, contrairement à l’Algérie, souhaite que son voisin méridional ne soit pas destabilisé par des ingérences extérieures et d’y voir s’installer un chaos islamiste.
Un chaos initié par les stratèges algériens, notamment via le Parti Radical Tawassol, dont le chef n’est qu’autre Mohammed Jemil Ould Mansour notoiremment connu pour ses amitiés avec le régime algérien.
Il s’avère aujourd’hui qu’après avoir semé le désordre, en Libye puis au Mali, les autorités algériennes ont jeté leur dévolu sur la Mauritanie pour semer la sizannie entre maures et négro-africains afin d’assoir un utopique leadership maghrébin.
Pour ce faire, le régime algérien, utilise tous les mouvements terroristes de sa création qui pilullent dans la région, à savoir AQMI, MUJAO et bien entendu le polisario.
Une stratégie machiavélique qui, dans l’esprit des dirigeants algériens, devrait lui offrir une profondeur stratégique en Afrique et amener le Président Mauritanien à changer sa position favorable au Maroc sur la question du Sahara.
Une stratégie vouée à l’échec.
En effet, les dés sont jetés et Alger a perdu sur tous les plans : diplomatiquement, politiquement, militairement, financièrement, et méditiaquement.
Que l’Algérie sache, le Royaume du Maroc a toujours respecté ses voisins, même dans l’adversité. Il ne s’est jamais immiscé dans les affaires intérieures d’un pays.
Ce qui n’est pas le cas des différents locataires d’Al Mouradia et des généraux Algériens propriétaires du célèbre et sinistre centre de torture de Châteauneuf Al Biar à Alger. Un centre inscrit tristement dans la mémoire des algériens.
Tout cet argent gaspillé !! Et pour des causes perdues qui fait qu’aujourd’hui une grande partie des malheurs du peuple algérien en est la grave conséquence.
Que l’Algérie commence par rembourser la sécurité sociale française les plus de 30 millions d’euros d’arrierés, une honte, et d’indemniser les 350 000 marocains qu’elle a expulsé manu militari le jour de la Fëte la plus importante en Islam, Aïd Al Adha, une autre honte.
Une décision inhumaine de Boumedienne et de Bouteflika à laquelle Maroc n’a pas daigné user de son droit de réponse légitime afin de préserver les relations historiques et familliales, qui unissent les deux peuples.
D’où l’insolente désinformation algérienne, objet du titre de cet article.
Farid Mnebhi.
Qui dit mieux ? Personne. Hormis les autorités algériennes !!!
Une tentative algérienne pour discréditer deux pays qui s’est au final avérée vaine puisque le peuple et la classe politique mauritaniens ont balayé d’un coup de main magistral cette information mensongère qui porte atteinte aux bonnes relations avec son voisin le Royaume du Maroc mais aussi avec le Qatar.
Une information mensongère, d’ailleurs largement relayée par les médias algériens à la solde du Palais d’Al Mouradia mais aussi par certains médias mauritaniens hostiles au Maroc et qui émargent allègrement sur les tablettes des services algériens comme Aqlame.
Le Maroc, contrairement à l’Algérie, souhaite que son voisin méridional ne soit pas destabilisé par des ingérences extérieures et d’y voir s’installer un chaos islamiste.
Un chaos initié par les stratèges algériens, notamment via le Parti Radical Tawassol, dont le chef n’est qu’autre Mohammed Jemil Ould Mansour notoiremment connu pour ses amitiés avec le régime algérien.
Il s’avère aujourd’hui qu’après avoir semé le désordre, en Libye puis au Mali, les autorités algériennes ont jeté leur dévolu sur la Mauritanie pour semer la sizannie entre maures et négro-africains afin d’assoir un utopique leadership maghrébin.
Pour ce faire, le régime algérien, utilise tous les mouvements terroristes de sa création qui pilullent dans la région, à savoir AQMI, MUJAO et bien entendu le polisario.
Une stratégie machiavélique qui, dans l’esprit des dirigeants algériens, devrait lui offrir une profondeur stratégique en Afrique et amener le Président Mauritanien à changer sa position favorable au Maroc sur la question du Sahara.
Une stratégie vouée à l’échec.
En effet, les dés sont jetés et Alger a perdu sur tous les plans : diplomatiquement, politiquement, militairement, financièrement, et méditiaquement.
Que l’Algérie sache, le Royaume du Maroc a toujours respecté ses voisins, même dans l’adversité. Il ne s’est jamais immiscé dans les affaires intérieures d’un pays.
Ce qui n’est pas le cas des différents locataires d’Al Mouradia et des généraux Algériens propriétaires du célèbre et sinistre centre de torture de Châteauneuf Al Biar à Alger. Un centre inscrit tristement dans la mémoire des algériens.
Tout cet argent gaspillé !! Et pour des causes perdues qui fait qu’aujourd’hui une grande partie des malheurs du peuple algérien en est la grave conséquence.
Que l’Algérie commence par rembourser la sécurité sociale française les plus de 30 millions d’euros d’arrierés, une honte, et d’indemniser les 350 000 marocains qu’elle a expulsé manu militari le jour de la Fëte la plus importante en Islam, Aïd Al Adha, une autre honte.
Une décision inhumaine de Boumedienne et de Bouteflika à laquelle Maroc n’a pas daigné user de son droit de réponse légitime afin de préserver les relations historiques et familliales, qui unissent les deux peuples.
D’où l’insolente désinformation algérienne, objet du titre de cet article.
Farid Mnebhi.