La jeune femme, Imane Fadil, a expliqué que le soir de sa première visite à Arcore, dans les environs de Milan, le Cavaliere l'avait invitée dans son "bureau bibliothèque" en lui disant: "Ne vous offensez pas, je vous invite à prendre une enveloppe dans laquelle se trouvent quatre billets de 500 euros".
Selon les médias italiens, la jeune femme a également décrit "une performance" de deux femmes, dont Nicole Minetti -ex-hygiéniste dentaire de Silvio Berlusconi devenue conseillère régionale en Lombardie-, type "Sister Act". "Elles ont effectué un ballet sexy, en se démenant dans une sorte de "lap-dance" dans la salle du bunga-bunga. Elles portaient une tunique noire, un voile blanc et une croix", a-t-elle détaillé.
Les deux femmes ont effectué un strip-tease jusqu'à se retrouver en "lingerie intime", selon ce témoin qui les a entendu dire qu'elles resteraient dormir à Arcore alors qu'elle-même quittait les lieux.
Assurant s'être sentie "déconcertée" et "mal à l'aise", Imane Fadil a toutefois ajouté être retournée à Arcore trois mois plus tard. Mais elle a aussi affirmé avoir subi des "pressions pour partiper à ces soirées" entre mai et juin 2011, alors que le procès Rubygate avait déjà débuté.
Dans cette affaire, l'ex-président du Conseil est accusé d'avoir payé à une dizaine de reprises les prestations sexuelles de la jeune Marocaine Karima El Mahroug, alias "Ruby", entre février et mai 2010, alors qu'elle était mineure, un délit passible de trois ans de prison en Italie.
SOURCE:7sur7.be
Selon les médias italiens, la jeune femme a également décrit "une performance" de deux femmes, dont Nicole Minetti -ex-hygiéniste dentaire de Silvio Berlusconi devenue conseillère régionale en Lombardie-, type "Sister Act". "Elles ont effectué un ballet sexy, en se démenant dans une sorte de "lap-dance" dans la salle du bunga-bunga. Elles portaient une tunique noire, un voile blanc et une croix", a-t-elle détaillé.
Les deux femmes ont effectué un strip-tease jusqu'à se retrouver en "lingerie intime", selon ce témoin qui les a entendu dire qu'elles resteraient dormir à Arcore alors qu'elle-même quittait les lieux.
Assurant s'être sentie "déconcertée" et "mal à l'aise", Imane Fadil a toutefois ajouté être retournée à Arcore trois mois plus tard. Mais elle a aussi affirmé avoir subi des "pressions pour partiper à ces soirées" entre mai et juin 2011, alors que le procès Rubygate avait déjà débuté.
Dans cette affaire, l'ex-président du Conseil est accusé d'avoir payé à une dizaine de reprises les prestations sexuelles de la jeune Marocaine Karima El Mahroug, alias "Ruby", entre février et mai 2010, alors qu'elle était mineure, un délit passible de trois ans de prison en Italie.
SOURCE:7sur7.be