Près d'une semaine après la déroute du PSG à Barcelone (1-6), synonyme de sortie de scène en Europe pour la saison en cours, l'arbitrage de l'Allemand Deniz Aytekin fait encore parler de lui. Ce mardi matin, le journal espagnol «Marca» et l'Italien «La Gazzetta dello Sport» révèlent que les dirigeants parisiens ont adressé un courrier à l'UEFA pour se plaindre directement des décisions prises par l'arbitre allemand lors du 8e de finale retour de Ligue des champions. Une information qui a été confirmée depuis au «Parisien - Aujourd'hui en France».
Dans ce courrier, en forme de dossier, les dirigeants parisiens listent une série d'erreurs, près d'une quinzaine selon nos informations, qui auraient porté préjudice au club rouge et bleu. D'anciens arbitres internationaux ont aidé le PSG à rédiger cette lettre. Même si le PSG reconnaît que beaucoup de décisions portent à interprétation, c'est l'accumulation des décisions jugées défavorables qui pousse les dirigeants à réagir.
Dès le soir du match, Nasser Al-Khelaïfi s'était entretenu avec le président de l'UEFA, Aleksander Ceferin, pour lui faire part d'un certain mécontentement. Face à la presse, le président du PSG avait ensuite affirmé que «l'arbitre avait beaucoup aidé Barcelone» mais qu'il fallait «accepter» le résultat.
Le but recherché par les dirigeants parisiens n'est évidemment pas de refaire jouer le match mais plutôt de se faire entendre et de gagner une forme de respect. Ce mot a d'ailleurs été immédiatement utilisé par Unai Emery après cette rencontre, réclamant plus de «respect» en Europe.
source: LeParisien.fr
Dans ce courrier, en forme de dossier, les dirigeants parisiens listent une série d'erreurs, près d'une quinzaine selon nos informations, qui auraient porté préjudice au club rouge et bleu. D'anciens arbitres internationaux ont aidé le PSG à rédiger cette lettre. Même si le PSG reconnaît que beaucoup de décisions portent à interprétation, c'est l'accumulation des décisions jugées défavorables qui pousse les dirigeants à réagir.
Dès le soir du match, Nasser Al-Khelaïfi s'était entretenu avec le président de l'UEFA, Aleksander Ceferin, pour lui faire part d'un certain mécontentement. Face à la presse, le président du PSG avait ensuite affirmé que «l'arbitre avait beaucoup aidé Barcelone» mais qu'il fallait «accepter» le résultat.
Le but recherché par les dirigeants parisiens n'est évidemment pas de refaire jouer le match mais plutôt de se faire entendre et de gagner une forme de respect. Ce mot a d'ailleurs été immédiatement utilisé par Unai Emery après cette rencontre, réclamant plus de «respect» en Europe.
source: LeParisien.fr