C’est la deuxième fois que C. Diouck comparait devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, pour des faits de vol. Le parquet a requis contre elle six mois d’emprisonnement ferme. Âgée de 19 berges et mère d’un enfant, la prévenue a pénétré dans une maison à Bopp, où elle a dérobé un iPhone 11.
D'aprés le récit de "Rewmi", avec les membres de son gang, C. Diouck avait comparu devant le tribunal de Dakar pour vol aggravé. Mais, elle avait bénéficié de la clémence du juge, qui lui avait infligé une peine de deux ans, dont un mois ferme. Ses acolytes ont tous écopé de deux ans de prison ferme. Cette sanction n’a pas refroidi la mère célibataire, qui peine à sortir de la délinquance. Il y a deux semaines, C. Diouck s’est introduite dans une maison à Bopp, où elle a fait main basse sur un iPhone 11. Le lendemain, elle a été dénoncée par un voisin de la victime, nommé Weuz. Interpellée au quartier Taïba de Grand-Dakar, la récidiviste a été mise à la disposition de la police, où elle a assumé l’acte posé. C. Diouck a indiqué qu’elle s’est présentée dans la demeure où habite K. Ngom à 15h.
Faisant semblant de chercher un certain Doudou, elle a pénétré dans la chambre de celle-ci, avant de s’emparer de son téléphone qu’elle a cédé 40.000 francs à Colobane. Mais, à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar, la prévenue a totalement nié le vol. Elle a soutenu avoir pris le portable sur instruction de Weuz. « C’est lui qui m’avait demandé d’aller prendre le portable dans la chambre de la partie civile. J’ai sans doute été trop naïve en acceptant, mais je ne suis pas une voleuse », a-t-elle dit, avec hargne. Mais, la représentante du Ministère public a tenu à rappeler à la comparante son passé pénal. « C’est le père de mon enfant qui est un bandit. Je travaille dans un fast-food », a rétorqué C. Diouck, qui présentait des blessures au bras qu’elle a imputé à son concubin.
La partie civile a expliqué que la prévenue l’a dépassée dans les escaliers. Mais, elle a constaté la disparition de son iPhone 11 quand elle a voulu passer un appel à 16h. « À la police, elle a déclaré que c’est Weuz qui a vendu le téléphone à Colobane. Ensuite, ils se sont rendus dans une auberge aux Maristes où ils ont entretenu un rapport sexuel », a narré K. Ngom, qui a accordé son pardon à la prévenue. Vu la constance des faits, la parquetière a requis une peine ferme de six mois contre la prévenue qui a comparu sans avocat. Le délibéré sera rendu le 7 septembre prochain.
D'aprés le récit de "Rewmi", avec les membres de son gang, C. Diouck avait comparu devant le tribunal de Dakar pour vol aggravé. Mais, elle avait bénéficié de la clémence du juge, qui lui avait infligé une peine de deux ans, dont un mois ferme. Ses acolytes ont tous écopé de deux ans de prison ferme. Cette sanction n’a pas refroidi la mère célibataire, qui peine à sortir de la délinquance. Il y a deux semaines, C. Diouck s’est introduite dans une maison à Bopp, où elle a fait main basse sur un iPhone 11. Le lendemain, elle a été dénoncée par un voisin de la victime, nommé Weuz. Interpellée au quartier Taïba de Grand-Dakar, la récidiviste a été mise à la disposition de la police, où elle a assumé l’acte posé. C. Diouck a indiqué qu’elle s’est présentée dans la demeure où habite K. Ngom à 15h.
Faisant semblant de chercher un certain Doudou, elle a pénétré dans la chambre de celle-ci, avant de s’emparer de son téléphone qu’elle a cédé 40.000 francs à Colobane. Mais, à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar, la prévenue a totalement nié le vol. Elle a soutenu avoir pris le portable sur instruction de Weuz. « C’est lui qui m’avait demandé d’aller prendre le portable dans la chambre de la partie civile. J’ai sans doute été trop naïve en acceptant, mais je ne suis pas une voleuse », a-t-elle dit, avec hargne. Mais, la représentante du Ministère public a tenu à rappeler à la comparante son passé pénal. « C’est le père de mon enfant qui est un bandit. Je travaille dans un fast-food », a rétorqué C. Diouck, qui présentait des blessures au bras qu’elle a imputé à son concubin.
La partie civile a expliqué que la prévenue l’a dépassée dans les escaliers. Mais, elle a constaté la disparition de son iPhone 11 quand elle a voulu passer un appel à 16h. « À la police, elle a déclaré que c’est Weuz qui a vendu le téléphone à Colobane. Ensuite, ils se sont rendus dans une auberge aux Maristes où ils ont entretenu un rapport sexuel », a narré K. Ngom, qui a accordé son pardon à la prévenue. Vu la constance des faits, la parquetière a requis une peine ferme de six mois contre la prévenue qui a comparu sans avocat. Le délibéré sera rendu le 7 septembre prochain.