Dick Cheney, le vice-président sous l’administration Bush sur une chaise roulante et qui s’engouffre à bord de son véhicule, juste à la fin de la cérémonie d’investiture de Barack Obama. L’image est saisissante et pleine de symbole. Ce symbole, c’est celui qui marque la fin d’une Amérique que ses enfants ont décidé de tourner le dos, pour faire place à une ère nouvelle. Celle-ci démarre bien.
La Maison blanche a désormais un nouveau locataire. Il s’agit du 44 ème président des Etats-Unis d’Amérique. Du premier noir président dans l’histoire de ce pays. Son premier discours ne peut être que celui de la rupture. "Je viens ici devant vous, avec humilité devant la tâche qui m’attend. Je vous suis reconnaissant de la tâche qui m’a été confiée". C’est en ces termes que le nouveau président des Etats Unis a débuté son discours.
"En ce jour, nous sommes rassemblés, car nous avons choisi l’espoir plutôt que la peur, la volonté d’agir en commun plutôt que le conflit et la discorde. En ce jour, nous venons proclamer la fin des réclamations mesquines et des fausses promesses, des récriminations et des dogmes éculés, qui ont trop longtemps étouffé notre politique" a-t-il constaté devant une foule immense amassée devant le Capitole. Malgré la crise économique qui secoue le pays, Barack Obama a fait savoir que l’Amérique est "prête à diriger" à nouveau.
Dénonçant la cupidité de certains, Obama a rappelé que l’économie américaine est "gravement affaiblie". Il avertit toutefois : "Un pays ne peut prospérer longtemps en ne favorisant que les plus prospères" avant de lancer que l’état de cette économie "impose l’action, ferme et rapide, et nous allons agir".
L’Irak fait partie des dossiers les plu brûlants sur lesquels, il est attendu. Barack Obama de marteler : "nous allons commencer à laisser l’Irak à son peuple de façon responsable et forger une paix durement gagnée en Afghanistan". Il a par ailleurs proposé au monde musulman "une nouvelle approche, fondée sur l’intérêt et le respect mutuels".
La Maison blanche a désormais un nouveau locataire. Il s’agit du 44 ème président des Etats-Unis d’Amérique. Du premier noir président dans l’histoire de ce pays. Son premier discours ne peut être que celui de la rupture. "Je viens ici devant vous, avec humilité devant la tâche qui m’attend. Je vous suis reconnaissant de la tâche qui m’a été confiée". C’est en ces termes que le nouveau président des Etats Unis a débuté son discours.
"En ce jour, nous sommes rassemblés, car nous avons choisi l’espoir plutôt que la peur, la volonté d’agir en commun plutôt que le conflit et la discorde. En ce jour, nous venons proclamer la fin des réclamations mesquines et des fausses promesses, des récriminations et des dogmes éculés, qui ont trop longtemps étouffé notre politique" a-t-il constaté devant une foule immense amassée devant le Capitole. Malgré la crise économique qui secoue le pays, Barack Obama a fait savoir que l’Amérique est "prête à diriger" à nouveau.
Dénonçant la cupidité de certains, Obama a rappelé que l’économie américaine est "gravement affaiblie". Il avertit toutefois : "Un pays ne peut prospérer longtemps en ne favorisant que les plus prospères" avant de lancer que l’état de cette économie "impose l’action, ferme et rapide, et nous allons agir".
L’Irak fait partie des dossiers les plu brûlants sur lesquels, il est attendu. Barack Obama de marteler : "nous allons commencer à laisser l’Irak à son peuple de façon responsable et forger une paix durement gagnée en Afghanistan". Il a par ailleurs proposé au monde musulman "une nouvelle approche, fondée sur l’intérêt et le respect mutuels".