Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme, cinq civils, dont une femme ont été tués par des tirs des forces gouvernementales lors de l’assaut contre le village de Tamanaat al-Ghab dans la province de Hama.
Dix-huit personnes ont également été blessées et de nombreuses maisons ont été incendiées, alors que l’OSDH évoque le bombardement d’une autre localité dans la même province.
Plus au sud, à Dmeir, à 40 km de Damas, c’est un civil qui a été tué, par des tirs gouvernementaux, à un barrage. Et plus près de la capitale, Damas, à Douma, un autre civil a été abattu par un tireur embusqué et un chef rebelle est mort dans des combats
L'Observatoire syrien des droits de l’homme fait, en outre, état d’un déploiement massif et de combats dans plusieurs localités de la province de Damas.
Cette nouvelle journée de violence intervient au lendemain de la revendication par le groupuscule al-Nosra du double attentat qui a fait 55 morts jeudi à dans la capitale syrienne. Les autorités syriennes y voit la marque d’une complicité entre al-Qaïda et l’opposition. Mais les dissidents de l’Armée syrienne libre affirment au contraire que c'est Damas qui est de mèche avec l’organisation d’Oussama Ben Laden.
Des nouveaux combats sont en outre signalés entre soldats et déserteurs, qui ont fait au total neuf morts. Ces violences interviennent à la veille de nouvelles sanctions européennes qui devraient tomber ce lundi.
Rfi
Dix-huit personnes ont également été blessées et de nombreuses maisons ont été incendiées, alors que l’OSDH évoque le bombardement d’une autre localité dans la même province.
Plus au sud, à Dmeir, à 40 km de Damas, c’est un civil qui a été tué, par des tirs gouvernementaux, à un barrage. Et plus près de la capitale, Damas, à Douma, un autre civil a été abattu par un tireur embusqué et un chef rebelle est mort dans des combats
L'Observatoire syrien des droits de l’homme fait, en outre, état d’un déploiement massif et de combats dans plusieurs localités de la province de Damas.
Cette nouvelle journée de violence intervient au lendemain de la revendication par le groupuscule al-Nosra du double attentat qui a fait 55 morts jeudi à dans la capitale syrienne. Les autorités syriennes y voit la marque d’une complicité entre al-Qaïda et l’opposition. Mais les dissidents de l’Armée syrienne libre affirment au contraire que c'est Damas qui est de mèche avec l’organisation d’Oussama Ben Laden.
Des nouveaux combats sont en outre signalés entre soldats et déserteurs, qui ont fait au total neuf morts. Ces violences interviennent à la veille de nouvelles sanctions européennes qui devraient tomber ce lundi.
Rfi