Les faits remontent au 2 janvier dernier au quartier Alassane Ndiaye de Sam Sam 3. Paco se trouve dans sa chambre en compagnie de ses amis, dont Laye et Serigne entrain de prendre les trois normaux. Au même moment, la famille suit le combat Yékini – Bombardier.
La quiétude de la maison aidant, Paco appelle sa sœur et lui demande d’inviter ses deux copines à venir prendre le thé avec eux. Le jeune garçon et ses compagnons avaient comploté pour profiter de la venue des gamines pour abuser d’elles. Ne se doutant de rien, la jeune fille accepte et vit venir ses amies.
Quelques instants après, la sœur de Paco ainsi que d’autres jeunes garçons, sortent un à un de la chambre et laissent les deux adolescentes avec Paco et ses amis, Laye et Serigne. Ces derniers « manœuvraient » les filles pour entretenir des rapports sexuels avec elles, mais devant le refus des adolescentes, les garçons s’énervent, ferment à clé la porte de la chambre et menacent de les tuer si elles continuent encore de se refuser à eux.
Prises de peur, les filles éclatent en sanglots et supplient à genoux à terre leurs « hôtes » de les laisser partir, ceux-ci aveuglés par leur libido, refusent obstinément, se saisissent de l’une des filles, la plaquent au lit et la déshabillent et tentent de la violer à tour de rôle.
Mais la gamine, malgré les tentatives de la bâillonner pour étouffer ses cris, parviendra à alerter le voisinage. Son frère ayant reconnu sa voix, accourt et se met à frapper « avec violence » à la porte pour se faire ouvrir. Mais en vain, il prend alors un gourdin et menace de défoncer la porte. Les jeunes garçons acceptent d’ouvrir la porte et protestent contre l’attitude du frangin de la gamine comme pour narguer la foule venue aux nouvelles, les galopins lubriques se mettent à hurler. « C’est au moment ou ils ont fini de déshabiller l’autre fille pour tenter d’abuser d’elle que le frère de la gamine violée a débarqué et les a interpellés » Lorsqu’ils ont accepté d’ouvrir la porte la fille violée ne pouvait même pas se relever. Elle était encore au lit et saignée abondamment, pendant ce temps sa copine, qui a plus de chance, était comme pétrifiée et tremblait encore de tout son corps », nous rapporte un témoin des faits.
Pour l’instant, notre interlocuteur déclare que les présumés auteurs de ce viol collectif n’ont pas été interpellés encore moins arrêtés. Et pourtant, ils ont été clairement identifiés et désignés par leurs victimes. Les familles de ces dernières, nous dit –on, se sont rendues hier au poste de police de Sicap Mbao pour déposer plainte, mais sans certificats médicaux pour le moment.
En attendant que les limiers, saisis de l’affaire, ouvrent une enquête et procèdent éventuellement à l’interpellation et la mise au frais des présumés délinquants sexuels, les commentaires vont bon train au quartier Alassane Ndiaye de Sam Sam 3.
Walf ‘ Grand Place
La quiétude de la maison aidant, Paco appelle sa sœur et lui demande d’inviter ses deux copines à venir prendre le thé avec eux. Le jeune garçon et ses compagnons avaient comploté pour profiter de la venue des gamines pour abuser d’elles. Ne se doutant de rien, la jeune fille accepte et vit venir ses amies.
Quelques instants après, la sœur de Paco ainsi que d’autres jeunes garçons, sortent un à un de la chambre et laissent les deux adolescentes avec Paco et ses amis, Laye et Serigne. Ces derniers « manœuvraient » les filles pour entretenir des rapports sexuels avec elles, mais devant le refus des adolescentes, les garçons s’énervent, ferment à clé la porte de la chambre et menacent de les tuer si elles continuent encore de se refuser à eux.
Prises de peur, les filles éclatent en sanglots et supplient à genoux à terre leurs « hôtes » de les laisser partir, ceux-ci aveuglés par leur libido, refusent obstinément, se saisissent de l’une des filles, la plaquent au lit et la déshabillent et tentent de la violer à tour de rôle.
Mais la gamine, malgré les tentatives de la bâillonner pour étouffer ses cris, parviendra à alerter le voisinage. Son frère ayant reconnu sa voix, accourt et se met à frapper « avec violence » à la porte pour se faire ouvrir. Mais en vain, il prend alors un gourdin et menace de défoncer la porte. Les jeunes garçons acceptent d’ouvrir la porte et protestent contre l’attitude du frangin de la gamine comme pour narguer la foule venue aux nouvelles, les galopins lubriques se mettent à hurler. « C’est au moment ou ils ont fini de déshabiller l’autre fille pour tenter d’abuser d’elle que le frère de la gamine violée a débarqué et les a interpellés » Lorsqu’ils ont accepté d’ouvrir la porte la fille violée ne pouvait même pas se relever. Elle était encore au lit et saignée abondamment, pendant ce temps sa copine, qui a plus de chance, était comme pétrifiée et tremblait encore de tout son corps », nous rapporte un témoin des faits.
Pour l’instant, notre interlocuteur déclare que les présumés auteurs de ce viol collectif n’ont pas été interpellés encore moins arrêtés. Et pourtant, ils ont été clairement identifiés et désignés par leurs victimes. Les familles de ces dernières, nous dit –on, se sont rendues hier au poste de police de Sicap Mbao pour déposer plainte, mais sans certificats médicaux pour le moment.
En attendant que les limiers, saisis de l’affaire, ouvrent une enquête et procèdent éventuellement à l’interpellation et la mise au frais des présumés délinquants sexuels, les commentaires vont bon train au quartier Alassane Ndiaye de Sam Sam 3.
Walf ‘ Grand Place