Le premier ministre qui continue de signer des arrêtés, MeMadické Niang qui reçoit les hôtes venus assister à la prestation de serment du nouveau président alors qu’ils ont démissionné, c’est ça qu’on appelle le paradoxe sénégalais. En effet depuis presque une semaine, le Sénégal est sans gouvernement car l’équipe de Souleymane Ndéné Ndiaye a rendu sa démission au président sortant Me Wade. La démission étant un acte volontaire, on ne peut pas démissionner et gérer des affaires courantes. C’est en cas de révocation qu’on demande à un ministre de gérer des affaires courantes, jusqu’à la nomination de son remplacement.
En plus l’on se demande si le gouvernement actuel devrait présenter sa démission au président sortant ou au président entrant. En effet, ce n’est pas le gouvernement qui a été désavoué car il ne s’agit pas d’élections législatives. Le gouvernement devrait donc continuer à exercer sa mission jusqu’à l’installation de Macky Sall comme président ensuite présenter sa démission à ce dernier. Car un premier ministre s’il démissionne doit être reconduit ou bien, son remplacement doit être nommé dans les heures qui suivent.
En attendant que Macky Sall ait donc son premier, le Sénégal reste sans gouvernement ou bien des ministres démissionnaires continuent d’exercer leurs fonctionnes qu’on appelle gérer « des affaires courantes ».
sununews.com
En plus l’on se demande si le gouvernement actuel devrait présenter sa démission au président sortant ou au président entrant. En effet, ce n’est pas le gouvernement qui a été désavoué car il ne s’agit pas d’élections législatives. Le gouvernement devrait donc continuer à exercer sa mission jusqu’à l’installation de Macky Sall comme président ensuite présenter sa démission à ce dernier. Car un premier ministre s’il démissionne doit être reconduit ou bien, son remplacement doit être nommé dans les heures qui suivent.
En attendant que Macky Sall ait donc son premier, le Sénégal reste sans gouvernement ou bien des ministres démissionnaires continuent d’exercer leurs fonctionnes qu’on appelle gérer « des affaires courantes ».
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