Une situation insupportable pour les apprenants du supérieur, qui ne comptent que sur ces fonds pour exister dans le lointain village de Sanar qui abrite le temple du savoir.
En outre, les étudiants se désolent de la récurrence des retards de paiement dans la mesure où, et c’est devenu une vieille rengaine, les autorités compétentes en la matière, attendent le 5 de chaque mois pour annoncer, dans un communiqué, que «le paiement des bourses va démarrer prochainement».
Dans la foulée, les étudiants de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis ont cloué au pilori la démarche des responsables de Ecobank, qui adoptent une attitude méprisante à leur égard, en refusant, catégoriquement, de tailler bavette avec eux.
Très remontés contre la structure bancaire en charge de diligenter leurs bourses, les pensionnaires de l’université de Sanar n’ont pas manqué de pointer l’attitude contraire à l’orthodoxie des autorités de Ecobank. Selon eux, ces individus, qu’ils assimilent à des «escrocs», se sont attachés les services de sous-traiteurs comme Wisel et Free money qui leur servent, des fois, des codes erronés.
Les invitant à changer de fusil d’épaule tout en bannissant, de leur quotidien, ce langage clair-obscur, la coordination des étudiants de Saint-Louis «exige la présence effective, dans les plus brefs délais, d’un agent d’Ecobank, au sein du campus social. Mais, aussi, l’effectivité des paiements avant la fin de la semaine».
Dans le cas contraire, les étudiants de l’Ugb promettent de monter, d’un cran, dans la lutte, en vue d’avoir gain de cause.
lequotidien.sn
En outre, les étudiants se désolent de la récurrence des retards de paiement dans la mesure où, et c’est devenu une vieille rengaine, les autorités compétentes en la matière, attendent le 5 de chaque mois pour annoncer, dans un communiqué, que «le paiement des bourses va démarrer prochainement».
Dans la foulée, les étudiants de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis ont cloué au pilori la démarche des responsables de Ecobank, qui adoptent une attitude méprisante à leur égard, en refusant, catégoriquement, de tailler bavette avec eux.
Très remontés contre la structure bancaire en charge de diligenter leurs bourses, les pensionnaires de l’université de Sanar n’ont pas manqué de pointer l’attitude contraire à l’orthodoxie des autorités de Ecobank. Selon eux, ces individus, qu’ils assimilent à des «escrocs», se sont attachés les services de sous-traiteurs comme Wisel et Free money qui leur servent, des fois, des codes erronés.
Les invitant à changer de fusil d’épaule tout en bannissant, de leur quotidien, ce langage clair-obscur, la coordination des étudiants de Saint-Louis «exige la présence effective, dans les plus brefs délais, d’un agent d’Ecobank, au sein du campus social. Mais, aussi, l’effectivité des paiements avant la fin de la semaine».
Dans le cas contraire, les étudiants de l’Ugb promettent de monter, d’un cran, dans la lutte, en vue d’avoir gain de cause.
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