Faisant suite à l’idée avancée par l’État du Sénégal d’acheter des caveaux pour enterrer des Sénégalais décédés du Covid-19, Horizon Sans Frontières a demandé aux autorités sénégalaises de bien vouloir communiquer solennellement, sur le nombre exact de Sénégalais décédés de cette maladie par pays et par juridiction.
Selon le communiqué reçu, car HSF continue de recevoir des informations et confirmations sur le nombre de décès de Sénégalais à l’étranger, il a été même porté à notre connaissance aujourd’hui, la disparition d’un autre Sénégalais vivant en Haute- Savoie suite au coronavirus. Le décès est survenu ce mardi à Annemasse, il a été inhumé ce mercredi 22 Avril à Annecy.
« Comme dans leur réaction, dans le sens où les autorités semblent dire qu’elles seraient mêmes seules à mesure de donner les chiffres fiables, Horizon Sans Frontières interpelle l’État pour communiquer en sens, à l’image de ce qu’elles font au quotidien.
Il est curieux de constater qu’à chaque décès enregistré, le ministère de la Santé communique et quand il s’agit de l’étranger, c’est l’omerta totale, comme si les Sénégalais de la Diaspora ne font pas partie de la nation.
Que se cache-t-il derrière ? voyager ou émigrer n’est pas un synonyme de perte de nationalité à ce que l’on sache», s’interrogent Boubacar Sèye et ses camarades
Selon eux, pour plus de transparence et une volonté d’informer juste, le ministère des Sénégalais de l’Extérieur doit communiquer de façon objective, sur le nombre de nos compatriotes morts du Covid-19 dans la diaspora, même si c’est un bilan hebdomadaire.
HSF rappelle au gouvernement du Sénégal, que depuis le début de la pandémie, aucun chiffre officiel du nombre de cas infectés ou décès, n’est rendu public dans les représentations diplomatiques et consulaires.
Or, la publication de ces chiffres, pourrait contribuer à une prise de conscience de la dangerosité de cette maladie aussi bien au Sénégal qu’à l’étranger.
« Ainsi, pour éviter toute polémique, le ministère des Affaires étrangères pourrait s’inspirer du ministère de la Santé pour diffuser chaque semaine (le matin), le nombre des cas positifs et négatifs, en indiquant au moins le nombre de décès enregistrés par notre pays sinon, les associations et organisations dans leurs rôles de défense, continueront de rendre publics, de façon responsable, les chiffres dont ils disposent », conclut le document.
Selon le communiqué reçu, car HSF continue de recevoir des informations et confirmations sur le nombre de décès de Sénégalais à l’étranger, il a été même porté à notre connaissance aujourd’hui, la disparition d’un autre Sénégalais vivant en Haute- Savoie suite au coronavirus. Le décès est survenu ce mardi à Annemasse, il a été inhumé ce mercredi 22 Avril à Annecy.
« Comme dans leur réaction, dans le sens où les autorités semblent dire qu’elles seraient mêmes seules à mesure de donner les chiffres fiables, Horizon Sans Frontières interpelle l’État pour communiquer en sens, à l’image de ce qu’elles font au quotidien.
Il est curieux de constater qu’à chaque décès enregistré, le ministère de la Santé communique et quand il s’agit de l’étranger, c’est l’omerta totale, comme si les Sénégalais de la Diaspora ne font pas partie de la nation.
Que se cache-t-il derrière ? voyager ou émigrer n’est pas un synonyme de perte de nationalité à ce que l’on sache», s’interrogent Boubacar Sèye et ses camarades
Selon eux, pour plus de transparence et une volonté d’informer juste, le ministère des Sénégalais de l’Extérieur doit communiquer de façon objective, sur le nombre de nos compatriotes morts du Covid-19 dans la diaspora, même si c’est un bilan hebdomadaire.
HSF rappelle au gouvernement du Sénégal, que depuis le début de la pandémie, aucun chiffre officiel du nombre de cas infectés ou décès, n’est rendu public dans les représentations diplomatiques et consulaires.
Or, la publication de ces chiffres, pourrait contribuer à une prise de conscience de la dangerosité de cette maladie aussi bien au Sénégal qu’à l’étranger.
« Ainsi, pour éviter toute polémique, le ministère des Affaires étrangères pourrait s’inspirer du ministère de la Santé pour diffuser chaque semaine (le matin), le nombre des cas positifs et négatifs, en indiquant au moins le nombre de décès enregistrés par notre pays sinon, les associations et organisations dans leurs rôles de défense, continueront de rendre publics, de façon responsable, les chiffres dont ils disposent », conclut le document.