Personne ne s’est rendu compte de l’évidence, mais le danger est là et il est réel, les techniciens de la SAR (Société Africaine de Raffinage) ont fini par lâcher le morceau.
En visite de terrain sur invitation des responsables de la SAR, la presse sénégalaise s’est rendue compte des Pipelines de la SAR que les populations de la banlieue à savoir les quartiers de Bel air, Thiaroye sur mer, Potou et ce jusqu’à Yeumbeul ont construit leurs habitations sur le Pipeline de la Société Africaine de Raffinage.
Une vraie bombe écologique, et pire encore des trafiquants d’hydrocarbure creusent dans certains endroits en plein cœur des quartiers populaires de Dakar pour extirper du carburant.
Plusieurs fuites ont été ainsi constatés par les responsables de la SAR, ces derniers temps c’est ainsi que ces derniers accompagnés de la Direction de la Protection Civile se sont rendus sur les lieux.
Plusieurs bidons remplis d’hydrocarbures ont été retrouvés dans des endroits insoupçonnés ou les trafiquants creusent pour casser les tuyaux de la SAR et voler le liquide précieux laissant ainsi un danger notoire derrière eux, car il suffit d’une étincelle de feu pour que l’irréparable ne se produise, une catastrophe pire que le « JOOLA ».
Selon les responsables de la SAR, une population de plus d’un million d’habitant de la banlieue habite sur le tuyau de la SAR qui assure la desserte des hydrocarbures de ladite Société.
Autre constat effrayant, dans une maison sise à Thiaroye sur mer la carte de la Pipeline indique clairement la cuisine d’une petite villa sise sur le tuyau du danger à moins d’un mètre sous terre dans un quartier mal loti et très difficile d’accès pour des secours.
Et pire encore des populations s’entêtent à la « Sénégalaise » en insistant qu’ils n’ont pas toucher à la Pipeline après avoir reconnu qu’ils sont conscient que le tuyau passent sous leur maison.
Les autorités de la SAR (Société Africaine de Raffinage) ont tout de même avancé un projet de délocalisation de desserte d’hydrocarbure par le canal de la Mer, seulement vu le cout et l’ampleur d’un tel projet difficile d’édifier une échéance.
En visite de terrain sur invitation des responsables de la SAR, la presse sénégalaise s’est rendue compte des Pipelines de la SAR que les populations de la banlieue à savoir les quartiers de Bel air, Thiaroye sur mer, Potou et ce jusqu’à Yeumbeul ont construit leurs habitations sur le Pipeline de la Société Africaine de Raffinage.
Une vraie bombe écologique, et pire encore des trafiquants d’hydrocarbure creusent dans certains endroits en plein cœur des quartiers populaires de Dakar pour extirper du carburant.
Plusieurs fuites ont été ainsi constatés par les responsables de la SAR, ces derniers temps c’est ainsi que ces derniers accompagnés de la Direction de la Protection Civile se sont rendus sur les lieux.
Plusieurs bidons remplis d’hydrocarbures ont été retrouvés dans des endroits insoupçonnés ou les trafiquants creusent pour casser les tuyaux de la SAR et voler le liquide précieux laissant ainsi un danger notoire derrière eux, car il suffit d’une étincelle de feu pour que l’irréparable ne se produise, une catastrophe pire que le « JOOLA ».
Selon les responsables de la SAR, une population de plus d’un million d’habitant de la banlieue habite sur le tuyau de la SAR qui assure la desserte des hydrocarbures de ladite Société.
Autre constat effrayant, dans une maison sise à Thiaroye sur mer la carte de la Pipeline indique clairement la cuisine d’une petite villa sise sur le tuyau du danger à moins d’un mètre sous terre dans un quartier mal loti et très difficile d’accès pour des secours.
Et pire encore des populations s’entêtent à la « Sénégalaise » en insistant qu’ils n’ont pas toucher à la Pipeline après avoir reconnu qu’ils sont conscient que le tuyau passent sous leur maison.
Les autorités de la SAR (Société Africaine de Raffinage) ont tout de même avancé un projet de délocalisation de desserte d’hydrocarbure par le canal de la Mer, seulement vu le cout et l’ampleur d’un tel projet difficile d’édifier une échéance.