Venus de quartiers différents comme Daarou Rahmane, Pènitence, Diakhaye 2..., ils affirment être dans de très bonnes conditions. Mais, espèrent mieux. En plus d'être nourris, dit-on, ils sont soignés et surveillés. Ainsi, ils ne redoutent aucune forme d'insécurité.
Toujours, semble-t-il, certaines familles, n’ayant plus en charge la dépense quotidienne ne veulent pas rentrer.
Par contre les éléments de la Mairie de Keur Massar, dont Zeynoul Abidine Gaye, Responsable du centre (l'ensemble des abris qui se trouvent à MTOA), se sentent indexés par la population.
Ces derniers, rejettent la faute sur l'Etat. D’après eux, il incombe à l'Etat le devoir de gérer les inondations. Même si, la responsabilité est partagée entre la population des zones non assainies. Ma mairie, regrette-t-on, ne vérifie pas avant de donner l'autorisation de construire. Et, l'Etat est en retard par rapport à la canalisation.
Toujours, semble-t-il, certaines familles, n’ayant plus en charge la dépense quotidienne ne veulent pas rentrer.
Par contre les éléments de la Mairie de Keur Massar, dont Zeynoul Abidine Gaye, Responsable du centre (l'ensemble des abris qui se trouvent à MTOA), se sentent indexés par la population.
Ces derniers, rejettent la faute sur l'Etat. D’après eux, il incombe à l'Etat le devoir de gérer les inondations. Même si, la responsabilité est partagée entre la population des zones non assainies. Ma mairie, regrette-t-on, ne vérifie pas avant de donner l'autorisation de construire. Et, l'Etat est en retard par rapport à la canalisation.