A Mbour Liberté 2, les populations locales n’en peuvent plus : leur calvaire semble durer une éternité. L’eau, élément vital, est quasi absente dans leur fief.
Avec le couvre-feu, les premières gouttes ne tombent souvent que vers deux heures du matin, alors que les mesures imposées les obligent à rester à la maison, plutôt que d’aller chercher l’eau à la borne fontaine.
La journée, ce sont les seaux et autres bidons qui décorent les voies qui mènent à ces lieux d’approvisionnement.
Certains habitants parcourent des kilomètres pour être dans une longue file. Une dame confirme que c’est vers deux heures, quatre heures du matin que tombent les premières gouttes (impossible de sortir avec le couvre-feu) et au plus tard à dix heures du matin, plus une goutte !
Et malheureusement aussi même les puits semblent s’être taris. En cette période de pandémie où la propreté est plus que recommandée, la mine des populations est pitoyable…
L’Etat est appelé à réagir !
Avec le couvre-feu, les premières gouttes ne tombent souvent que vers deux heures du matin, alors que les mesures imposées les obligent à rester à la maison, plutôt que d’aller chercher l’eau à la borne fontaine.
La journée, ce sont les seaux et autres bidons qui décorent les voies qui mènent à ces lieux d’approvisionnement.
Certains habitants parcourent des kilomètres pour être dans une longue file. Une dame confirme que c’est vers deux heures, quatre heures du matin que tombent les premières gouttes (impossible de sortir avec le couvre-feu) et au plus tard à dix heures du matin, plus une goutte !
Et malheureusement aussi même les puits semblent s’être taris. En cette période de pandémie où la propreté est plus que recommandée, la mine des populations est pitoyable…
L’Etat est appelé à réagir !