Depuis plus d’un mois avec les mesures de sécurité prises par les autorités contre le COVID-19, la population dakaroise vit un énorme calvaire.
Obligés de de s’agglutiner pendant des heures dans des stations ou garages des bus Tata qui n’ont le droit de transporter que 12 ou 14 personnes, hommes et femmes patientent en attendant de rares bus qui acceptent de les transporter.
Mais souvent dans certaines stations, comme celle sur cette vidéo, c’est de façon désorganisée, avec à l’approche de ces cars une course pour avoir une place, sans égard pour les femmes ou personnes âgées.
Les Transpteurs disent travailler à perte et les chauffeurs ne sont plus payés car la compensation promise par l’Etat tarde à se matérialiser.
Modou Dièye, un des acteurs de AFTU sidéré face à cette cacophonie se demande « Que faire ? »
La balle est dans le camp de l’Etat !
Obligés de de s’agglutiner pendant des heures dans des stations ou garages des bus Tata qui n’ont le droit de transporter que 12 ou 14 personnes, hommes et femmes patientent en attendant de rares bus qui acceptent de les transporter.
Mais souvent dans certaines stations, comme celle sur cette vidéo, c’est de façon désorganisée, avec à l’approche de ces cars une course pour avoir une place, sans égard pour les femmes ou personnes âgées.
Les Transpteurs disent travailler à perte et les chauffeurs ne sont plus payés car la compensation promise par l’Etat tarde à se matérialiser.
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La balle est dans le camp de l’Etat !