Le mouvement Y en a marre est’’ républicain et démocratique et ne va pas demander tout de suite le départ de Wade’’, a dit son coordonnateur Cheikh Fadel Barro, au cours d’une conférence de presse.
Le coordonnateur du mouvement a précisé que Y en a marre ne réclame pas le départ immédiat du président Abdoulaye Wade du pouvoir mais va s’opposer à sa volonté de briguer un troisième mandat lors de l’élection présidentielle du 26 février.
’’Il faut qu’on soit clair sur cette question. Y en a marre ne s’inscrit pas dans un départ automatique et systématique du président Wade. Mais il fera tout pour qu’Abdoulaye Wade ne se présente pas, parce que la Constitution ne lui permet pas’’, a-t-il notamment dit.
‘’Nous ne voulons pas d’une situation à la tunisienne (…). Il faut que le peuple accepte les règles de la démocratie. Il a été élu pour sept ans, on respecte son mandat présidentiel’’, a relevé Barro.
Toutefois, par ‘’souci d’apaisement et de responsabilité, il doit dire au Sénégal qu’il ne se représente pas et s’inscrire dans cette dynamique’’, a estimé le conférencier.
Il a affirmé que le Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) est libre d’avoir son candidat.
Les autres leaders du mouvement Kilifeu, Malal Tall et Thiat ont réaffirmé que leur mouvement est ‘’une sentinelle de la démocratie’’.
Elu en 2000 et réélu en 2007, Abdoulaye Wade, le secrétaire générale du PDS veut briguer un troisième mandat. Certains partis de l’opposition et des activistes de la société civile dénoncent sa candidature, estimant qu’elle est non conforme à la Constitution.
BHC/AD
A.P.S Agence de Presse Sénégalaise
Le coordonnateur du mouvement a précisé que Y en a marre ne réclame pas le départ immédiat du président Abdoulaye Wade du pouvoir mais va s’opposer à sa volonté de briguer un troisième mandat lors de l’élection présidentielle du 26 février.
’’Il faut qu’on soit clair sur cette question. Y en a marre ne s’inscrit pas dans un départ automatique et systématique du président Wade. Mais il fera tout pour qu’Abdoulaye Wade ne se présente pas, parce que la Constitution ne lui permet pas’’, a-t-il notamment dit.
‘’Nous ne voulons pas d’une situation à la tunisienne (…). Il faut que le peuple accepte les règles de la démocratie. Il a été élu pour sept ans, on respecte son mandat présidentiel’’, a relevé Barro.
Toutefois, par ‘’souci d’apaisement et de responsabilité, il doit dire au Sénégal qu’il ne se représente pas et s’inscrire dans cette dynamique’’, a estimé le conférencier.
Il a affirmé que le Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) est libre d’avoir son candidat.
Les autres leaders du mouvement Kilifeu, Malal Tall et Thiat ont réaffirmé que leur mouvement est ‘’une sentinelle de la démocratie’’.
Elu en 2000 et réélu en 2007, Abdoulaye Wade, le secrétaire générale du PDS veut briguer un troisième mandat. Certains partis de l’opposition et des activistes de la société civile dénoncent sa candidature, estimant qu’elle est non conforme à la Constitution.
BHC/AD
A.P.S Agence de Presse Sénégalaise