
Le fils du Premier ministre israélien, Yair Netanyahu, a répondu violemment ce samedi 12 avril 2025, à Emmanuel Macron, concernant une possible reconnaissance de l'État palestinien.
Yair Netanyahu, le fils du Premier ministre israélien, a vivement réagi au plan d'Emmanuel Macron sur la possible reconnaissance d'un État palestinien.
Vendredi, le président de la République s'était fendu d'un message sur le réseau social X, pour clarifier les "intentions" de la France pour Gaza, face aux "raccourcis" et "fausses informations".
Trois jours plus tôt, il avait déclaré que la France pourrait reconnaître l'État palestinien en juin, à l'occasion d'une conférence que Paris coprésidera avec l'Arabie saoudite aux Nations unies à New York, tout en inscrivant un tel geste dans un mouvement réciproque de reconnaissance d'Israël, par les pays arabes. Ses propos avaient déclenché une rafale de protestations à droite et à l'extrême droite en France.
Screw you! Yes to independence of New Caledonia! Yes to independence to French Polynesia! Yes to independence of Corsica! Yes to independence of the Basque Country! Yes to independence of French Guinea! Stop the neo imperialism of France in west Africa!
— Yair Netanyahu???????? (@YairNetanyahu) April 12, 2025
Dans son message sur X, Emmanuel Macron a insisté sur "le droit légitime des Palestiniens à un État et à la paix, comme celui des Israéliens à vivre en paix et sécurité, l'un et l'autre reconnus par leurs voisins".
Yair Netanyahu pour l'indépendance de territoires français
Âgé de 33 ans et vivant actuellement en Floride selon des médias israéliens, Yair Netanyahu s'y dit aussi favorable à l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie, de la Polynésie française, de la Corse, du pays basque et de la Guinée - sans doute confondue avec la Guyane, qui est un département français situé sur la côte nord-est de l'Amérique du Sud.
Les relations entre Israël et la France se sont nettement tendues ces derniers mois. Le projet d'une reconnaissance de la Palestine, qu'Israël compare à "une récompense pour le terrorisme", est aussi le signe de la prise de distance croissante d'Emmanuel Macron vis-à-vis de Benjamin Netanyahu, qui a relancé mi-mars, la guerre dans la bande de Gaza, au prix de nombreuses victimes civiles et humanitaires.
BFM
Yair Netanyahu, le fils du Premier ministre israélien, a vivement réagi au plan d'Emmanuel Macron sur la possible reconnaissance d'un État palestinien.
Vendredi, le président de la République s'était fendu d'un message sur le réseau social X, pour clarifier les "intentions" de la France pour Gaza, face aux "raccourcis" et "fausses informations".
Trois jours plus tôt, il avait déclaré que la France pourrait reconnaître l'État palestinien en juin, à l'occasion d'une conférence que Paris coprésidera avec l'Arabie saoudite aux Nations unies à New York, tout en inscrivant un tel geste dans un mouvement réciproque de reconnaissance d'Israël, par les pays arabes. Ses propos avaient déclenché une rafale de protestations à droite et à l'extrême droite en France.
Screw you! Yes to independence of New Caledonia! Yes to independence to French Polynesia! Yes to independence of Corsica! Yes to independence of the Basque Country! Yes to independence of French Guinea! Stop the neo imperialism of France in west Africa!
— Yair Netanyahu???????? (@YairNetanyahu) April 12, 2025
Dans son message sur X, Emmanuel Macron a insisté sur "le droit légitime des Palestiniens à un État et à la paix, comme celui des Israéliens à vivre en paix et sécurité, l'un et l'autre reconnus par leurs voisins".
Yair Netanyahu pour l'indépendance de territoires français
Âgé de 33 ans et vivant actuellement en Floride selon des médias israéliens, Yair Netanyahu s'y dit aussi favorable à l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie, de la Polynésie française, de la Corse, du pays basque et de la Guinée - sans doute confondue avec la Guyane, qui est un département français situé sur la côte nord-est de l'Amérique du Sud.
Les relations entre Israël et la France se sont nettement tendues ces derniers mois. Le projet d'une reconnaissance de la Palestine, qu'Israël compare à "une récompense pour le terrorisme", est aussi le signe de la prise de distance croissante d'Emmanuel Macron vis-à-vis de Benjamin Netanyahu, qui a relancé mi-mars, la guerre dans la bande de Gaza, au prix de nombreuses victimes civiles et humanitaires.
BFM