Alors qu’il était le sélectionneur du Maroc depuis le 15 août 2019, Vahid Halilhodzic a été démis de ses fonctions le 11 août 2022, à quelques mois seulement du coup d’envoi de la Coupe du monde 2022 au Qatar, après un différend avec la star Hakim Ziyech notamment. La Fédération royale marocaine de football parlait alors d’une séparation « à l’amiable » en raison de « divergences de points de vue au sujet de la préparation idoine des Lions de l’Atlas ».
C’est donc finalement Walid Regragui qui a pris la relève de Vahid Halilhodzic et qui a su mener les troupes marocaines avec brio jusqu’à la quatrième place du tournoi. Les Lions de l’Atlas ont terminé premiers de leur groupe devant la Croatie et la Belgique et ont ensuite éliminé l’Espagne en huitième et le Portugal en quart.
« Ils m’ont enlevé ma fierté »
Dans une interview rapportée par dailymercato, un média croate, Vahid Halilhodzic n’a pas caché son amertume envers la Fédération royale marocaine de football : « Vous savez, je n’ai fait aucun commentaire sur le Maroc. Des journalistes du Maroc, de la région m’appellent… mais j’ai du mal à dire quoi que ce soit. Et ces mots ne peuvent pas laver mon amertume, et ne peuvent pas rattraper ce que j’ai raté avec ce tournoi ».
Et de conclure avec des mots très forts : « Ils m’ont enlevé ma fierté, je ne peux ni les oublier ni leur pardonner. Parce que c’était aussi censé être mon adieu à ma carrière d’entraîneur. C’est tout ce que je peux dire à ce sujet ».
C’est donc finalement Walid Regragui qui a pris la relève de Vahid Halilhodzic et qui a su mener les troupes marocaines avec brio jusqu’à la quatrième place du tournoi. Les Lions de l’Atlas ont terminé premiers de leur groupe devant la Croatie et la Belgique et ont ensuite éliminé l’Espagne en huitième et le Portugal en quart.
« Ils m’ont enlevé ma fierté »
Dans une interview rapportée par dailymercato, un média croate, Vahid Halilhodzic n’a pas caché son amertume envers la Fédération royale marocaine de football : « Vous savez, je n’ai fait aucun commentaire sur le Maroc. Des journalistes du Maroc, de la région m’appellent… mais j’ai du mal à dire quoi que ce soit. Et ces mots ne peuvent pas laver mon amertume, et ne peuvent pas rattraper ce que j’ai raté avec ce tournoi ».
Et de conclure avec des mots très forts : « Ils m’ont enlevé ma fierté, je ne peux ni les oublier ni leur pardonner. Parce que c’était aussi censé être mon adieu à ma carrière d’entraîneur. C’est tout ce que je peux dire à ce sujet ».