« Je ne pense pas que la majorité des universitaires soit foncièrement contre. Je pense que l’on entend plus ceux qui sont contre. Dans une réforme, il y a toujours une majorité silencieuse qui s’intéresse à la modernisation et une minorité beaucoup plus active aux relents plus politiques et qui dans les média prend la liberté de la parole, explique-t-elle. Ce que je demande c’est qu’il y ait de la concertation, du dialogue. Toutes les grandes universités du monde se réforment, se modernisent pour se professionnaliser davantage et s’ouvrir au monde. Je crois que ce serait une erreur pour le Sénégal de ne pas aller vers la voie de la réforme ».
Pour rappel, la loi cadre portant réforme de l’Enseignement Supérieur s’articule essentiellement autour de la régulation des flux d’entrée dans le supérieur, la limitation de la durée de séjour des étudiants dans le système, la promotion de l’enseignement supérieur privé et surtout la réorientation du système d’enseignement supérieur sénégalais vers les sciences, la technologie, l’ingénierie, les mathématiques et la promotion des formations professionnelles courtes.
Seneweb
Pour rappel, la loi cadre portant réforme de l’Enseignement Supérieur s’articule essentiellement autour de la régulation des flux d’entrée dans le supérieur, la limitation de la durée de séjour des étudiants dans le système, la promotion de l’enseignement supérieur privé et surtout la réorientation du système d’enseignement supérieur sénégalais vers les sciences, la technologie, l’ingénierie, les mathématiques et la promotion des formations professionnelles courtes.
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