Leur apparition a fait sensation, le 17 juin dernier. Elle, nouvellement blonde, silhouette amincie, teint éclatant et sourire rouge baiser. Lui, bel homme aux yeux bleus, du genre athlétique et suffisamment aventurier pour arborer une barbe grisonnante de trois jours. Elle aurait voulu orchestrer son arrivée au 21e gala Musique contre l’oubli, organisé par Amnesty International au Théâtre des Champs-Elysées, la journaliste de Paris Match n’aurait pas fait mieux. Alors qu’elle assistait seule, les traits encore marqués par sa séparation d’avec le chef de l’Etat, à la même manifestation, l’an passé, l’ancienne locataire du 55, rue du Faubourg Saint-Honoré a cette année choisi de s’afficher au côté d’une épaule amie.
« Un bel inconnu ». C’est ainsi que certains ont qualifié ledit compagnon, venu applaudir avec l’ex-« première compagne » L’oiseau de feu de Stavinsky ou Le boléro de Ravel interprétés par l’Orchestre National de France sous la direction de Sacha Goetzel. Autant dissiper le trouble qui a gagné les rédactions de l’hexagone : le chevalier servant de Valérie Trierweiler ce soir du 17 juin répond au nom de Jean-Marie Guibert. L’homme officie en tant que notaire dans l’ouest de Paris et surtout, il s’apprête à se marier à la fin de l’été. Un jour très attendu par Valérie… puisqu’elle assistera en tant que témoin à ces noces .
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