Monter au créneau. Voilà ce qu’a fait Arsène Wenger hier en conférence de presse. Le technicien alsacien a tenu à défendre son club d’Arsenal, fragilisé par les rumeurs de départs entourant certains de ses joueurs. Le Français a donc tenu à rappeler qu’il espérait toujours pouvoir le conserver Robin Van Persie. « Van Persie est un buteur de classe mondiale et je suis l’un de ses plus grands supporters. Je l’ai toujours soutenu. Il lui reste un an de contrat et il est demandé, mais notre désir est de le conserver », a-t-il répété. Mais si tel n’était pas le cas, le coach souhaite que le cas de l’international oranje sera réglé avant le 18 août, date de la reprise du championnat.
« Cependant, nous ferons ce qui est dans l’intérêt du club. (...) La date officielle de la fin du mercato est prévue au 31 août, mais nous en avons une en interne. (...) Je considère que le marché devrait s’arrêter avant le début de la saison », a-t-il martelé. RVP n’est pas le seul élément de l’effectif londonien à être associé à un possible départ. Theo Walcott, lui aussi sous contrat jusqu’en juin 2013, serait également courtisé. Là encore, l’entraîneur espère que le joueur restera. « Les situations contractuelles sont les mêmes. Il leur reste tous deux une année de contrat. On verra. On tranchera toujours en fonction des intérêts du club. Nous avons beaucoup de jeunes joueurs, comme Alex Oxlade-Chamberlain par exemple. Nous avons beaucoup de jeunes. Nous avons acheté Walcott alors qu’il était jeune et nous voulons conserver nos joueurs. Nous voulons toujours conserver nos joueurs », a-t-il lancé.
Sous pression dans ces deux dossiers, le manager a tenu à rassurer tout son monde, criant à qui veut l’entendre que, malgré ce mercato compliqué à gérer, son équipe sera compétitive et ambitieuse. « Nous sommes très, très ambitieux. Vous le savez. Pas seulement ambitieux, mais aussi très fiers de la façon dont nous gérons le club. (...) La situation n’est pas la même que la saison passée parce que nous avons une équipe qui est solide et habituée à jouer ensemble. Nous avons acheté deux buteurs avec Olivier Giroud et Lukas Podolski. Ce n’est pas seulement le mercato qui explique nos difficultés de l’an passé, ce sont surtout les blessures », a-t-il revendiqué. En poussant ce coup de gueule, Arsène Wenger s’est comporté en capitaine en pleine tempête. Suffisant pour redresser durablement la barre ?
Alexis Pereira
« Cependant, nous ferons ce qui est dans l’intérêt du club. (...) La date officielle de la fin du mercato est prévue au 31 août, mais nous en avons une en interne. (...) Je considère que le marché devrait s’arrêter avant le début de la saison », a-t-il martelé. RVP n’est pas le seul élément de l’effectif londonien à être associé à un possible départ. Theo Walcott, lui aussi sous contrat jusqu’en juin 2013, serait également courtisé. Là encore, l’entraîneur espère que le joueur restera. « Les situations contractuelles sont les mêmes. Il leur reste tous deux une année de contrat. On verra. On tranchera toujours en fonction des intérêts du club. Nous avons beaucoup de jeunes joueurs, comme Alex Oxlade-Chamberlain par exemple. Nous avons beaucoup de jeunes. Nous avons acheté Walcott alors qu’il était jeune et nous voulons conserver nos joueurs. Nous voulons toujours conserver nos joueurs », a-t-il lancé.
Sous pression dans ces deux dossiers, le manager a tenu à rassurer tout son monde, criant à qui veut l’entendre que, malgré ce mercato compliqué à gérer, son équipe sera compétitive et ambitieuse. « Nous sommes très, très ambitieux. Vous le savez. Pas seulement ambitieux, mais aussi très fiers de la façon dont nous gérons le club. (...) La situation n’est pas la même que la saison passée parce que nous avons une équipe qui est solide et habituée à jouer ensemble. Nous avons acheté deux buteurs avec Olivier Giroud et Lukas Podolski. Ce n’est pas seulement le mercato qui explique nos difficultés de l’an passé, ce sont surtout les blessures », a-t-il revendiqué. En poussant ce coup de gueule, Arsène Wenger s’est comporté en capitaine en pleine tempête. Suffisant pour redresser durablement la barre ?
Alexis Pereira