« Depuis le soir de l’élection Présidentielle de 2019, des critiques, des frustrations et une méfiance croissante à l’égard de notre parti qu’est l’Apr, gagnent de plus en plus l’engagement de nos militants dans les bases politiques», ont-ils fait savoir.
Poursuivant, ils défendent que «les responsables sont souvent considérés comme des abonnés à leur agenda personnel, ne servant pas l’intérêt général et l’esprit de solidarité au sein du parti». Pour eux, «ce sentiment de rupture de la confiance a aujourd’hui entraîné l’indifférence et l’insouciance à l’égard de la vie politique du parti et aux valeurs cardinales de la République ».
Que faire pour faire face au désespoir de la jeunesse sénégalaise ? On dit souvent que «l’habitude du désespoir est plus dure à supporter que le désespoir lui-même».
Montant au créneau, M. Diaby et ses camarades crient : «Nous avions cru au Président Macky Sall. Nous avions cru qu’il sera à l'origine du véritable changement de la situation de l’emploi des jeunes du Sénégal. Hélas !».
Armés de leur bazooka, ils tirent sans reculer. «Le constat est général. Aujourd’hui, dans ce pays, ce sont les lobbies tapis dans l’ombre qui dictent leur loi. Nous allons faire face et dire "Non". Ce pays n’est le titre foncier de personne. Seule la lutte libère».
Le tribunal de l’histoire jugera
Comme pour dénoncer les retrouvailles entre leur mentor et Idrissa Seck, ces jeunes «rebelles» de l’Apr de faire savoir que « le Président Macky Sall, en faisant appel à ses anciens amis qui ont pillé et dilapidé les ressources de ce pays, aujourd’hui le sentiment de déshonneur, nous anime à tout point de vue (sic). Nous pensons aux morts de 2012 pour la bonne gouvernance. Pis, actuellement, les jeunes font le choix de mourir en mer. La décadence et la misère les poussent encore et encore vers de tels actes».
Non sans indiquer que «pendant que d’autres s’embourgeoisent avec les deniers publics, eux, ils ont choisi les dents de la mer. Le Tribunal de l’Histoire jugera. À coup sûr, nous avons accompagné le Président dans le "Yaakar", aujourd’hui, nous tendons vers le désespoir». Faisant remarquer que «ce sont les transhumants du régime chassé en 2012, qui ont fini par occuper honteusement les places de choix», ils ont décidé de remettre leur « tenue de combat pour faire face à tous ceux qui tenteraient d’anéantir les valeurs de la République ».
Tribune
Poursuivant, ils défendent que «les responsables sont souvent considérés comme des abonnés à leur agenda personnel, ne servant pas l’intérêt général et l’esprit de solidarité au sein du parti». Pour eux, «ce sentiment de rupture de la confiance a aujourd’hui entraîné l’indifférence et l’insouciance à l’égard de la vie politique du parti et aux valeurs cardinales de la République ».
Que faire pour faire face au désespoir de la jeunesse sénégalaise ? On dit souvent que «l’habitude du désespoir est plus dure à supporter que le désespoir lui-même».
Montant au créneau, M. Diaby et ses camarades crient : «Nous avions cru au Président Macky Sall. Nous avions cru qu’il sera à l'origine du véritable changement de la situation de l’emploi des jeunes du Sénégal. Hélas !».
Armés de leur bazooka, ils tirent sans reculer. «Le constat est général. Aujourd’hui, dans ce pays, ce sont les lobbies tapis dans l’ombre qui dictent leur loi. Nous allons faire face et dire "Non". Ce pays n’est le titre foncier de personne. Seule la lutte libère».
Le tribunal de l’histoire jugera
Comme pour dénoncer les retrouvailles entre leur mentor et Idrissa Seck, ces jeunes «rebelles» de l’Apr de faire savoir que « le Président Macky Sall, en faisant appel à ses anciens amis qui ont pillé et dilapidé les ressources de ce pays, aujourd’hui le sentiment de déshonneur, nous anime à tout point de vue (sic). Nous pensons aux morts de 2012 pour la bonne gouvernance. Pis, actuellement, les jeunes font le choix de mourir en mer. La décadence et la misère les poussent encore et encore vers de tels actes».
Non sans indiquer que «pendant que d’autres s’embourgeoisent avec les deniers publics, eux, ils ont choisi les dents de la mer. Le Tribunal de l’Histoire jugera. À coup sûr, nous avons accompagné le Président dans le "Yaakar", aujourd’hui, nous tendons vers le désespoir». Faisant remarquer que «ce sont les transhumants du régime chassé en 2012, qui ont fini par occuper honteusement les places de choix», ils ont décidé de remettre leur « tenue de combat pour faire face à tous ceux qui tenteraient d’anéantir les valeurs de la République ».
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