D’après nos confrères de sudquotidien.sn , lors des discussions préliminaires, certains députés ont exprimé des positions tranchées. Cheikh Abdou Mbacké Bara Doli, par exemple, a fermement soutenu la suppression des deux institutions, insistant sur l'importance de rediriger les fonds économisés vers les priorités de la population.
Selon lui, le vote révélera les véritables intentions des partis politiques, notamment la coalition Benno Bokk Yakaar, qu'il accuse de vouloir potentiellement freiner la réforme. Il prône également la dissolution de l'Assemblée nationale pour permettre la tenue d’élections anticipées, facilitant ainsi la gouvernance du régime actuel.
En revanche, Babacar Abba Mbaye, député de Taxawu Sénégal, a exprimé des réserves, mettant en avant le risque de tomber dans une « politique politicienne » où chaque régime modifie les institutions selon ses propres besoins sans vision à long terme pour le pays. Il a plaidé pour des institutions « pour le Sénégal » et non des institutions de projet.
Pour sa part, Amadou Ba, président du groupe parlementaire Yewwi Askan Wi, a défendu cette réforme, rappelant qu’elle était une promesse électorale du Président de la République. Selon lui, il n'y a aucune intention cachée de créer de nouvelles institutions pour remplacer celles qui seront supprimées, dissipant ainsi les rumeurs qui circulent à ce sujet.
Dans les prochains jours, les députés décideront du sort du HCCT et du CESE, une décision qui, selon les nouvelles autorités, s’inscrit dans une logique de « rationalisation des dépenses publiques ».
Selon lui, le vote révélera les véritables intentions des partis politiques, notamment la coalition Benno Bokk Yakaar, qu'il accuse de vouloir potentiellement freiner la réforme. Il prône également la dissolution de l'Assemblée nationale pour permettre la tenue d’élections anticipées, facilitant ainsi la gouvernance du régime actuel.
En revanche, Babacar Abba Mbaye, député de Taxawu Sénégal, a exprimé des réserves, mettant en avant le risque de tomber dans une « politique politicienne » où chaque régime modifie les institutions selon ses propres besoins sans vision à long terme pour le pays. Il a plaidé pour des institutions « pour le Sénégal » et non des institutions de projet.
Pour sa part, Amadou Ba, président du groupe parlementaire Yewwi Askan Wi, a défendu cette réforme, rappelant qu’elle était une promesse électorale du Président de la République. Selon lui, il n'y a aucune intention cachée de créer de nouvelles institutions pour remplacer celles qui seront supprimées, dissipant ainsi les rumeurs qui circulent à ce sujet.
Dans les prochains jours, les députés décideront du sort du HCCT et du CESE, une décision qui, selon les nouvelles autorités, s’inscrit dans une logique de « rationalisation des dépenses publiques ».