Elle a également mis en avant la nécessité d’une collaboration étroite entre les deux structures, ainsi que le rôle crucial des parlementaires, en tant qu’ambassadeurs du cadre de vie. Cette visite s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du programme « Sétal Sa Rew », initié par le président de la République, M. Bassirou Diomaye Faye, visant à améliorer les conditions de vie des Sénégalais, à travers une gestion plus efficace de l’espace public et une sensibilisation accrue aux questions d’hygiène et de propreté.
Le député Oumar Sy, président de la Commission de l'Aménagement du Territoire, de l'Urbanisme, de l'Habitat, des Infrastructures et des Transports de l’Assemblée nationale, a souligné l’importance de cette visite et les enjeux qu’elle représente pour le Sénégal. « Nous sommes venus rendre visite à la Direction du cadre de vie et de l’hygiène publique dans le cadre du programme "Sétal Sa Rew" initié par le président de la République. Nous avons constaté que, malheureusement, nous perdons un peu la culture de la propreté et de l’hygiène dans nos comportements quotidiens dans l’espace public. L’État doit être accompagné dans cette initiative, et les populations doivent y adhérer, pour améliorer nos cadres de vie. »
Le parlementaire a également insisté sur le rôle éducatif à jouer auprès des jeunes générations. « Cette éducation à la propreté et à l’hygiène de vie, doit être renforcée dans nos écoles, pour que les enfants grandissent avec ce réflexe et cette habitude, par rapport à notre environnement immédiat », a-t-il ajouté.
Le président de la commission a également évoqué la responsabilité des municipalités et des collectivités territoriales dans la gestion de l’espace public, souvent occupé de manière anarchique. « Les municipalités et les collectivités territoriales ont une grande responsabilité dans cette situation. Il faut une appropriation des populations par rapport à ces initiatives gouvernementales, pour qu’elles puissent se faire dans les meilleures conditions », a souligné M. Sy. Il a également rappelé le rôle des parlementaires dans le contrôle de l’utilisation des ressources allouées à ces missions. « Nous avons pris des engagements pour porter le plaidoyer auprès de qui de droit. En tant que parlementaires, nous devons nous assurer que les ressources financières allouées à ces directions, sont utilisées à bon escient. Une fois cette assurance obtenue, il nous revient de les accompagner pour qu’elles réussissent leur mission au bénéfice des populations », a-t-il déclaré.
De son côté, M. Serigne Kosso Sène, Directeur général du cadre de vie et de l’hygiène publique (DGCVHP), a exprimé sa gratitude pour cette visite, soulignant l’importance de la collaboration avec les députés. « Nous sommes honorés de recevoir la commission Aménagement du territoire, Urbanisme, Habitat, Infrastructures et Transports. Une trentaine de députés se sont déplacés pour s’enquérir de la situation de la Direction générale du cadre de vie et de l’hygiène publique. Nous leur avons expliqué nos missions, qui consistent à mettre en œuvre les politiques d’amélioration du cadre de vie au Sénégal, en collaboration avec les collectivités territoriales », a-t-il déclaré.
M. Sène a également évoqué les défis législatifs auxquels fait face la DGCVHP, notamment la nécessité de mettre en place un Code du cadre de vie. « Nous souhaitons mettre en place un Code du cadre de vie, et nous avons discuté avec les députés, qui sont prêts à nous accompagner dans cette démarche », a-t-il affirmé.
Le Directeur général a également insisté sur le rôle des députés en tant qu’ambassadeurs auprès des populations. « Les députés viennent des quartiers, des communes, des localités. Ils sont des représentants du peuple, et nous comptons sur eux pour sensibiliser les populations à l’amélioration du cadre de vie. Le cadre de vie est l’apanage des peuples et les citoyens doivent prendre en charge leur environnement. Les députés sont les meilleurs ambassadeurs pour porter cette plaidoirie, tant au niveau législatif qu’auprès des populations », a-t-il expliqué.
Il a également annoncé la tenue prochaine d’un atelier élargi, réunissant tous les acteurs concernés par les questions de cadre de vie. « Nous allons organiser un atelier pour élargir cette discussion à tous les acteurs impliqués dans le cadre de vie, car c’est un domaine très transversal. Tous les acteurs doivent être impliqués pour améliorer le cadre de vie des Sénégalais », a conclu M. Sène.
Birame Khary Ndaw
Le député Oumar Sy, président de la Commission de l'Aménagement du Territoire, de l'Urbanisme, de l'Habitat, des Infrastructures et des Transports de l’Assemblée nationale, a souligné l’importance de cette visite et les enjeux qu’elle représente pour le Sénégal. « Nous sommes venus rendre visite à la Direction du cadre de vie et de l’hygiène publique dans le cadre du programme "Sétal Sa Rew" initié par le président de la République. Nous avons constaté que, malheureusement, nous perdons un peu la culture de la propreté et de l’hygiène dans nos comportements quotidiens dans l’espace public. L’État doit être accompagné dans cette initiative, et les populations doivent y adhérer, pour améliorer nos cadres de vie. »
Le parlementaire a également insisté sur le rôle éducatif à jouer auprès des jeunes générations. « Cette éducation à la propreté et à l’hygiène de vie, doit être renforcée dans nos écoles, pour que les enfants grandissent avec ce réflexe et cette habitude, par rapport à notre environnement immédiat », a-t-il ajouté.
Le président de la commission a également évoqué la responsabilité des municipalités et des collectivités territoriales dans la gestion de l’espace public, souvent occupé de manière anarchique. « Les municipalités et les collectivités territoriales ont une grande responsabilité dans cette situation. Il faut une appropriation des populations par rapport à ces initiatives gouvernementales, pour qu’elles puissent se faire dans les meilleures conditions », a souligné M. Sy. Il a également rappelé le rôle des parlementaires dans le contrôle de l’utilisation des ressources allouées à ces missions. « Nous avons pris des engagements pour porter le plaidoyer auprès de qui de droit. En tant que parlementaires, nous devons nous assurer que les ressources financières allouées à ces directions, sont utilisées à bon escient. Une fois cette assurance obtenue, il nous revient de les accompagner pour qu’elles réussissent leur mission au bénéfice des populations », a-t-il déclaré.
De son côté, M. Serigne Kosso Sène, Directeur général du cadre de vie et de l’hygiène publique (DGCVHP), a exprimé sa gratitude pour cette visite, soulignant l’importance de la collaboration avec les députés. « Nous sommes honorés de recevoir la commission Aménagement du territoire, Urbanisme, Habitat, Infrastructures et Transports. Une trentaine de députés se sont déplacés pour s’enquérir de la situation de la Direction générale du cadre de vie et de l’hygiène publique. Nous leur avons expliqué nos missions, qui consistent à mettre en œuvre les politiques d’amélioration du cadre de vie au Sénégal, en collaboration avec les collectivités territoriales », a-t-il déclaré.
M. Sène a également évoqué les défis législatifs auxquels fait face la DGCVHP, notamment la nécessité de mettre en place un Code du cadre de vie. « Nous souhaitons mettre en place un Code du cadre de vie, et nous avons discuté avec les députés, qui sont prêts à nous accompagner dans cette démarche », a-t-il affirmé.
Le Directeur général a également insisté sur le rôle des députés en tant qu’ambassadeurs auprès des populations. « Les députés viennent des quartiers, des communes, des localités. Ils sont des représentants du peuple, et nous comptons sur eux pour sensibiliser les populations à l’amélioration du cadre de vie. Le cadre de vie est l’apanage des peuples et les citoyens doivent prendre en charge leur environnement. Les députés sont les meilleurs ambassadeurs pour porter cette plaidoirie, tant au niveau législatif qu’auprès des populations », a-t-il expliqué.
Il a également annoncé la tenue prochaine d’un atelier élargi, réunissant tous les acteurs concernés par les questions de cadre de vie. « Nous allons organiser un atelier pour élargir cette discussion à tous les acteurs impliqués dans le cadre de vie, car c’est un domaine très transversal. Tous les acteurs doivent être impliqués pour améliorer le cadre de vie des Sénégalais », a conclu M. Sène.
Birame Khary Ndaw