Selon le journal "Le Pays Au Quotidien", si les femmes encore détenus à la citadelle dans les différentes prisons du pays exultent à l’idée de se voir, bientôt gracier par Me Wade, tel n’est pas le cas pour chez leur codétenus du Camp pénal. Ces derniers en effet voient mal comment le président a pu prendre cette décision en les «laissant en rade». Un futur mutin pense que «c’est une bonne chose que le président de la République gracie les femmes, mais il devrait généraliser la mesure. Je ne vois pas ce qu’elles ont de plus méritants». Selon ce détenu qui s’est confié au «Le Pays Au Quotidien», «autant que les détenus hommes, les femmes ont également commis de ces choses, des fois même pires, qui les ont conduits en prison»
Il s’y ajoute que les détenus, particulièrement les longues peines, en veulent quelque part « aux détenus politiques », allusion faite à Malick Noël Seck et Barthélémy Dias. Pour ce dernier nommé, les pensionnaires du Camp pénal s’interrogent : «Pourquoi on lui accorde un traitement de faveur alors qu’on dit qu’il a tué ?». Ainsi, ils appellent les autorités à ce qu’il soit traité comme tous les détenus de droit commun.
Le Senegalais
Il s’y ajoute que les détenus, particulièrement les longues peines, en veulent quelque part « aux détenus politiques », allusion faite à Malick Noël Seck et Barthélémy Dias. Pour ce dernier nommé, les pensionnaires du Camp pénal s’interrogent : «Pourquoi on lui accorde un traitement de faveur alors qu’on dit qu’il a tué ?». Ainsi, ils appellent les autorités à ce qu’il soit traité comme tous les détenus de droit commun.
Le Senegalais