Et ces décès enregistre entre 2013 et 2018 « ne sont que la face visible de l’iceberg », car « ces milliers de décès représentent probablement une sous-estimation non négligeable du monde réel », affirme le porte-parole de l’agence onusienne.
Ce manque de chiffre exact est dû à l’impossibilité « de vérifier l’identité de ceux qui seraient morts ou de l’endroit où ils avaient l’intention de migrer », affirme la même source.
L’organisation précise qu’en ce qui concerne les décès enregistré depuis 2014, ils ont eu lieu principalement dans le désert du Sahara, au Nord du Niger, le Sud de la Libye et le Nord du Soudan, rapporte emedia.sn.
Ce manque de chiffre exact est dû à l’impossibilité « de vérifier l’identité de ceux qui seraient morts ou de l’endroit où ils avaient l’intention de migrer », affirme la même source.
L’organisation précise qu’en ce qui concerne les décès enregistré depuis 2014, ils ont eu lieu principalement dans le désert du Sahara, au Nord du Niger, le Sud de la Libye et le Nord du Soudan, rapporte emedia.sn.