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Vidéo / Abdou Diouf raconte la tentative de meurtre et le coup d'Etat raté contre Senghor en 1967 : "Le gars a tiré, on a entendu le déclic, mais la balle n'est pas partie"

Rédigé par leral.net le Lundi 1 Novembre 2010 à 23:24 | | 5 commentaire(s)|

Dans une vidéo difusée par le site socialisme-republique, le président Abdou Diouf est largement revenu sur son compagnonnage avec Senghor. Un récit riche en anecdotes. "Senghor avait un grand sang froid. Quand on a essayé de l'assassiner en 1967, j'étais avec lui dans la voiture et c'était un coup de chance. C'était un complot bien préparé ; le monsieur on lui a donné une arme, on lui a appris comment il fallait armer, comment il fallait manipuler l'arme. Il a tiré, mais il a oublié d'armer. On a entendu le déclic, mais la balle n'est pas partie. L'aide de camp a dit que la voiture, on est parti. Et dans la voiture, il a dit : "Abdou, tu comprends ce sont les risques du métier. C'était son seul commentaire. Je voulais insister sur ce point"





1.Posté par pape sow bordeaux le 02/11/2010 12:40 | Alerter
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il me semble encore , entendre sa voix , à l'accent trainant si caractéristique , ma génèration , nous sommes les enfants de Senghor , à tous points de vue : " Je me souviens du manteau rouge que portais le Bour Sine , Coumba Ndofféne Diouf , quand il venait voir son cousin , mon père , oui , mon père était un Guéléwar " .
ceci à été , est , et sera pour toujours , la différence entre le fils de Diogaye et de Ngilane ,et , Abdoulaye wade .

2.Posté par pape sow bordeaux le 02/11/2010 12:52 | Alerter
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remplacer "portais " par " portait" , désolé .

3.Posté par abou le 02/11/2010 14:35 | Alerter
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senghor daal il n'a fait que nous retarder. c'était juste un dictateur.

4.Posté par Yao le 04/11/2010 09:56 | Alerter
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wwaa simplement étant pour la francophonie il es vénéré comme un dieu par des politiciens africain il ne faut pas oublier que pour les français un noir restera toujours noir !!!

5.Posté par yaakar le 04/11/2010 13:35 | Alerter
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Senghor n'était rien d'autre qu'un simple complexé. Une belle oeuvre d'art de l'occident. Etant académicien est ce que les ordinateurs parlent sérères. Abdou Diouf a été et demeure un éternel second incapable de réfléchir et prendre des initiatives.
Attendez que je vienne pour voir la différence

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