Au moment où le Premier ministre, le Président du Sénat et d’autres ministres entraient dans la salle de l’Unité africaine où la cérémonie se déroulait, Farba Senghor a voulu se fondre dans la masse pour accéder à la salle. Repéré par les gardes du corps du chef de l’Etat, il sera stoppé net. Le chargé de la propagande du Pds, qui ne l’entendait pas de cette oreille, a tenté un passage en force. Mais il s’est heurté au bloc de muscles constitué par les « bodyguards ». Il a ainsi été violemment repoussé. S’il ne s’est pas retrouvé au sol c’est que le député Aliou Dia, sans le vouloir, a amorti le choc et l’a sauvé d’une chute humiliante.
Farba avait fini de radicaliser les gardes du corps qui voulaient juste le retenir le temps que les autorités prennent place. Mais du fait de son comportement, ils lui ont interdit la salle jusqu’à la fin de la cérémonie. Il s’est posté dans un coin, attendant sagement la sortie du président Abdoulaye Wade pour, peut-être, se plaindre du mauvais traitement qui lui a été réservé, lui qui se targue d'être l’un des plus zélés souteneurs du chef de l’Etat.
seneweb.com
Farba avait fini de radicaliser les gardes du corps qui voulaient juste le retenir le temps que les autorités prennent place. Mais du fait de son comportement, ils lui ont interdit la salle jusqu’à la fin de la cérémonie. Il s’est posté dans un coin, attendant sagement la sortie du président Abdoulaye Wade pour, peut-être, se plaindre du mauvais traitement qui lui a été réservé, lui qui se targue d'être l’un des plus zélés souteneurs du chef de l’Etat.
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