La sortie de Birahim Ndiaye traitant les anciens lutteurs qui étaient reçus en audience au palais le vendredi dernier d’opportunistes intéressés seulement par l’argent de Wade, n’est pas du goût de ces derniers. Et c’est Baba Riche Niang, ancien lutteur et ancien entraîneur de l’équipe nationale qui est monté au créneau pour apporter la réplique. Pour lui, Birahim Ndiaye, qui « s’excite à cause des 50 millions offerts par Wade », n’a rien à réclamer, et pour cause. « Il s’est auto-exclu de l’association. Lui et ceux qui sont avec lui. La preuve, lorsqu’on nous a remis de l’argent lors du drapeau du chef de l’Etat à Louga, il a refusé de le garder. Quand on le convoque en réunion, il ne vient pas. Il n’a assisté à aucune réunion lors de la préparation du projet qui a été soumis au président de la République », affirme Riche Niang.
« Qu’il nous apporte notre argent d’abord »
Très remonté, notre interlocuteur demande à Birahim Ndiaye de venir au niveau de l’Association, où il a des comptes à rendre par rapport à sa gestion financière. « C’est nous qui devons lui réclamer des comptes. Il n’a qu’à venir au niveau de l’Association et nous apporter notre argent. Il nous parle de problèmes avec la banque. Cette histoire de banque ne nous intéresse pas. Nous n’avions pas confié notre argent à la banque. C’est à lui qu’on l’avait donné », martèle-t-il. Interpellé sur le montant de la somme détenue par celui qu’il considère comme un trésorier qui s’est « auto-exclu », Riche Niang soutient : « certains parlent d’un peu moins de 2 millions, mais moi je sais qu’on en a pour 2 millions au moins. Et je sais de quoi je parle. J’ai toujours des pièces justificatives avec moi et d’autres en ont aussi ».
« Birahim et ceux qui sont avec lui n’ont pas joué franc-jeu »
Revenant sur le différend qui oppose les animateurs de l’association des anciennes gloires dirigée par Manga 2 à ceux de l’Association « Mbeuri demb » présidée par Toubabou Dior, Baba Riche Niang soutient que Birahim et Cie n’ont pas joué franc-jeu. « La mise en place de Mbeuri Demb avait un seul but, permettre aux anciens lutteurs d’avoir des cartes de managers (les managers avaient refusé leur intégration directe dans le métier et leur Association). C’est moi-même qui ai fait toutes les démarches pour la création de Mbeuri Demb. Une fois la question des cartes de managers réglée, nous devions tous retourner continuer le travail au sein de l’Association des anciennes gloires. Seulement, Birahim et ceux qui sont avec lui n’ont pas joué franc-jeu. Ils ont refusé de revenir à l’Association des anciennes gloires », a expliqué Riche Niang.
Mbaye THIANDOUM
« Qu’il nous apporte notre argent d’abord »
Très remonté, notre interlocuteur demande à Birahim Ndiaye de venir au niveau de l’Association, où il a des comptes à rendre par rapport à sa gestion financière. « C’est nous qui devons lui réclamer des comptes. Il n’a qu’à venir au niveau de l’Association et nous apporter notre argent. Il nous parle de problèmes avec la banque. Cette histoire de banque ne nous intéresse pas. Nous n’avions pas confié notre argent à la banque. C’est à lui qu’on l’avait donné », martèle-t-il. Interpellé sur le montant de la somme détenue par celui qu’il considère comme un trésorier qui s’est « auto-exclu », Riche Niang soutient : « certains parlent d’un peu moins de 2 millions, mais moi je sais qu’on en a pour 2 millions au moins. Et je sais de quoi je parle. J’ai toujours des pièces justificatives avec moi et d’autres en ont aussi ».
« Birahim et ceux qui sont avec lui n’ont pas joué franc-jeu »
Revenant sur le différend qui oppose les animateurs de l’association des anciennes gloires dirigée par Manga 2 à ceux de l’Association « Mbeuri demb » présidée par Toubabou Dior, Baba Riche Niang soutient que Birahim et Cie n’ont pas joué franc-jeu. « La mise en place de Mbeuri Demb avait un seul but, permettre aux anciens lutteurs d’avoir des cartes de managers (les managers avaient refusé leur intégration directe dans le métier et leur Association). C’est moi-même qui ai fait toutes les démarches pour la création de Mbeuri Demb. Une fois la question des cartes de managers réglée, nous devions tous retourner continuer le travail au sein de l’Association des anciennes gloires. Seulement, Birahim et ceux qui sont avec lui n’ont pas joué franc-jeu. Ils ont refusé de revenir à l’Association des anciennes gloires », a expliqué Riche Niang.
Mbaye THIANDOUM
BIRAHIM NDIAYE
« S’ils pensent que j’ai bouffé leur argent, pourquoi ils ne m’amènent pas à la Police ? »
Pour le trésorier de l’Association des anciennes gloires, l’argent qu’il a eu à gérer est bel et bien à la banque. Et penser qu’il a pu l’utiliser à des fins personnelles est, dit-il, « insensé », et pour cause. « L’argent est bien à la banque et j’ai eu à m’expliquer sur la question. Tous les papiers justificatifs sont là et je vais vous les amener si vous voulez. Pour sortir le plus petit franc, il faut une double signature. Ma signature en tant que trésorier et celle de Manga en tant que président. Donc, c’est insensé de penser que je peux utiliser l’argent à mon propre compte », martèle-t-il. Mieux, Birahim Ndiaye ajoute : « Si vraiment ils pensent que j’ai bouffé l’argent, pourquoi ils ne me convoquent pas à la police ? Vous pensez que si j’avais bouffé leur argent j’allais continuer à porter mes beaux habits et vaquer tranquillement à mes occupations sans que je ne sois inquiété ? Tout cela est faux. Dieu merci, moi je n’ai pas besoin de l’argent de l’Association pour vivre ». Par ailleurs, Birahim dit qu’on lui en veut à cause de sa rigueur dans la gestion des sous de l’Association. « Ils veulent quelqu’un qui est prêt à donner de l’argent à tout bout de champ. Moi, je ne ferai pas ça. Si je dois sortir de l’argent, ce sera sur des bases claires, après décision du bureau ou de l’Assemblée générale », affirme-t-il.
« Si les réunions sont convoquées chez Manga, je ne vais pas y aller »
S’agissant de son refus d’aller aux réunions, Birahim l’explique par le fait que ces réunions sont convoquées chez le président, alors qu’elles doivent se tenir au siège de l’Association. « Ils convoquent des réunions ailleurs qu’au siège. Si les réunions sont convoquées chez Manga, je ne vais pas y aller. Car nous avons un siège qui est à la rue 17×22. C’est ce qui figure dans le récépissé et les statuts. On ne peut pas se lever un beau jour et changer le siège sans passer par une Assemblée générale ».
Mbaye THIANDOUM
lasquotidien.info
« S’ils pensent que j’ai bouffé leur argent, pourquoi ils ne m’amènent pas à la Police ? »
Pour le trésorier de l’Association des anciennes gloires, l’argent qu’il a eu à gérer est bel et bien à la banque. Et penser qu’il a pu l’utiliser à des fins personnelles est, dit-il, « insensé », et pour cause. « L’argent est bien à la banque et j’ai eu à m’expliquer sur la question. Tous les papiers justificatifs sont là et je vais vous les amener si vous voulez. Pour sortir le plus petit franc, il faut une double signature. Ma signature en tant que trésorier et celle de Manga en tant que président. Donc, c’est insensé de penser que je peux utiliser l’argent à mon propre compte », martèle-t-il. Mieux, Birahim Ndiaye ajoute : « Si vraiment ils pensent que j’ai bouffé l’argent, pourquoi ils ne me convoquent pas à la police ? Vous pensez que si j’avais bouffé leur argent j’allais continuer à porter mes beaux habits et vaquer tranquillement à mes occupations sans que je ne sois inquiété ? Tout cela est faux. Dieu merci, moi je n’ai pas besoin de l’argent de l’Association pour vivre ». Par ailleurs, Birahim dit qu’on lui en veut à cause de sa rigueur dans la gestion des sous de l’Association. « Ils veulent quelqu’un qui est prêt à donner de l’argent à tout bout de champ. Moi, je ne ferai pas ça. Si je dois sortir de l’argent, ce sera sur des bases claires, après décision du bureau ou de l’Assemblée générale », affirme-t-il.
« Si les réunions sont convoquées chez Manga, je ne vais pas y aller »
S’agissant de son refus d’aller aux réunions, Birahim l’explique par le fait que ces réunions sont convoquées chez le président, alors qu’elles doivent se tenir au siège de l’Association. « Ils convoquent des réunions ailleurs qu’au siège. Si les réunions sont convoquées chez Manga, je ne vais pas y aller. Car nous avons un siège qui est à la rue 17×22. C’est ce qui figure dans le récépissé et les statuts. On ne peut pas se lever un beau jour et changer le siège sans passer par une Assemblée générale ».
Mbaye THIANDOUM
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