Guillaume Soro serait fortement impliqué dans le coup d'Etat raté au Burkina Faso. Dans une conversation téléphonique avec le Général Diendéré, le président de l'Assemblée nationale de Côte d'Ivoire demande à ce dernier de s'appuyer sur le Président Macky Sall pour réussir le coup d'Etat. La proposition du président de la République, en son titre de président en exercice de la Cedeao avait été rejeté par le peuple burkinabé.
Alors que les Burkinabé avaient réussi à chasser Blaise Compaoré qui voulait modifier la Constitution pour se maintenir au pouvoir, Michel Kafando et Isaac Zida conduisaient tranquillement la transition vers une élection démocratique. Subitement, des soldats du RSP, la garde présidentielle, prennent en otage les deux dirigeants. Ces putchistes avec à leur tête le Général Diendéré subissent une forte pression internationale qui les a fait reculer.
Avec ces conversations téléphoniques avec Djibril Bassolé et le Génral Diendéré, jugées authentiques par l'ancien PM, Isaac Zida, on découvre que Guillaume Soro était le planificateur du coup d'Etat. Mais sur les réseaux sociaux où il dispose d'une équipe de communication dynamique, le président du Parlement ivoirien accuse Zida d'être le "manipulateur" derrière la diffusion de ces conversations.
Dans des pays normaux avec des justices fonctionnelles et indépendantes, une enquête serait ouverte.
Alors que les Burkinabé avaient réussi à chasser Blaise Compaoré qui voulait modifier la Constitution pour se maintenir au pouvoir, Michel Kafando et Isaac Zida conduisaient tranquillement la transition vers une élection démocratique. Subitement, des soldats du RSP, la garde présidentielle, prennent en otage les deux dirigeants. Ces putchistes avec à leur tête le Général Diendéré subissent une forte pression internationale qui les a fait reculer.
Avec ces conversations téléphoniques avec Djibril Bassolé et le Génral Diendéré, jugées authentiques par l'ancien PM, Isaac Zida, on découvre que Guillaume Soro était le planificateur du coup d'Etat. Mais sur les réseaux sociaux où il dispose d'une équipe de communication dynamique, le président du Parlement ivoirien accuse Zida d'être le "manipulateur" derrière la diffusion de ces conversations.
Dans des pays normaux avec des justices fonctionnelles et indépendantes, une enquête serait ouverte.