Depuis hier, une affaire de viol et de détournement de mineure défraie la chronique dans la commune de Saré Yoba Diéga et environs. Trois jeunes de la commune ont été arrêtés par les hommes de la brigade de gendarmerie de Kolda.
Selon des sources proches dossier, la fille raconte qu’elle a été interpellée par trois jeunes hommes qui l’ont conduite de force à l’ombre d’un arbre. A l’abri des regards, ils l’ont bâillonnée avec le foulard qu’elle portait sur la tête, pour se relayer sur elle. Après avoir satisfait leur libido, ils l’ont laissée là et sont partis comme si de rien n’était.
De retour chez elle, elle avait le visage défait. Ce qui a automatiquement alerté ses parents. Elle leur a raconté sa mésaventure. Sans aucune hésitation, les parents sont allés porter plainte contre les trois jeunes. La victime a, elle, été admise à l’hôpital et mise sous perfusion intraveineuse. Les jeunes ont été interpelés, puis conduits à la brigade de gendarmerie de Kolda.
Entendus sur les faits, les trois jeunes garçons ont reconnu avoir entretenu des relations sexuelles avec la jeune fille. Mais lors de leur interrogatoire, ils ont déclaré qu’ils n’ont pas violé la jeune fille. ‘’Nous lui avons déclaré notre amour. Elle a accepté d’entretenir des rapports sexuels, moyennant de l’argent. Nous lui avons remis la somme qu’elle a demandée. C’est ainsi que nous l’avons conduite loin des regards indiscrets et puis, nous sommes passés à l’acte’’.
Suite à ces déclarations, ils ont été arrêtés puis déférés, hier, au parquet de Kolda. Après leur face-à-face avec le procureur, leur dossier a été transmis au juge d’instruction. C’est ainsi qu’ils ont été envoyés en prison.
Pour rappel, le 31 mars 2016, sept collégiens et lycéens de Saré Yoba ont été emprisonnés pour viol collectif sur une mineure de 18 ans. Après leur procès, deux lycéens de 19 ans avaient été condamnés chacun à 10 ans d’emprisonnement ferme pour viol collectif. Il s’agit de D. M. et J. K., tous élèves de la commune de Saré Yoba Diéga. En plus de la sanction pénale, les deux condamnés avaient été contraints de payer à la victime la somme de 500 mille francs CFA. Le verdict avait été rendu le mercredi 27 avril 2016. Tandis que les cinq autres jeunes avaient été relaxés au bénéfice du doute.
Enquête
Selon des sources proches dossier, la fille raconte qu’elle a été interpellée par trois jeunes hommes qui l’ont conduite de force à l’ombre d’un arbre. A l’abri des regards, ils l’ont bâillonnée avec le foulard qu’elle portait sur la tête, pour se relayer sur elle. Après avoir satisfait leur libido, ils l’ont laissée là et sont partis comme si de rien n’était.
De retour chez elle, elle avait le visage défait. Ce qui a automatiquement alerté ses parents. Elle leur a raconté sa mésaventure. Sans aucune hésitation, les parents sont allés porter plainte contre les trois jeunes. La victime a, elle, été admise à l’hôpital et mise sous perfusion intraveineuse. Les jeunes ont été interpelés, puis conduits à la brigade de gendarmerie de Kolda.
Entendus sur les faits, les trois jeunes garçons ont reconnu avoir entretenu des relations sexuelles avec la jeune fille. Mais lors de leur interrogatoire, ils ont déclaré qu’ils n’ont pas violé la jeune fille. ‘’Nous lui avons déclaré notre amour. Elle a accepté d’entretenir des rapports sexuels, moyennant de l’argent. Nous lui avons remis la somme qu’elle a demandée. C’est ainsi que nous l’avons conduite loin des regards indiscrets et puis, nous sommes passés à l’acte’’.
Suite à ces déclarations, ils ont été arrêtés puis déférés, hier, au parquet de Kolda. Après leur face-à-face avec le procureur, leur dossier a été transmis au juge d’instruction. C’est ainsi qu’ils ont été envoyés en prison.
Pour rappel, le 31 mars 2016, sept collégiens et lycéens de Saré Yoba ont été emprisonnés pour viol collectif sur une mineure de 18 ans. Après leur procès, deux lycéens de 19 ans avaient été condamnés chacun à 10 ans d’emprisonnement ferme pour viol collectif. Il s’agit de D. M. et J. K., tous élèves de la commune de Saré Yoba Diéga. En plus de la sanction pénale, les deux condamnés avaient été contraints de payer à la victime la somme de 500 mille francs CFA. Le verdict avait été rendu le mercredi 27 avril 2016. Tandis que les cinq autres jeunes avaient été relaxés au bénéfice du doute.
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