Le charretier Ch. Sy et le vulcanisateur M. Ndiaye ont été déférés au parquet du Tribunal de Grande Instance de Pikine, pour détournement de mineure et viol collectif répétitif. Ils sont accusés d’avoir transformé une fille de 10 ans, en objet sexuel.
La victime se nomme N. A. S. L’affaire, qui s’est déroulée à Sicap Mbao, a duré sept ans. Elle a commencé en 2017, selon "Les Échos", repris par "Seneweb".
Dans son récit, le journal rapporte que c’est Sy qui a fait la connaissance de la victime présumée en premier. «Il profite de sa naïveté, l’entraîne souvent dans son écurie et entretient des rapports sexuels avec elle», déroule la source.
Un jour, poursuit "Les Échos", alors qu’il est en pleins ébats sexuels avec la petite dans l’écurie, le charretier est surpris par son ami M. Ndiaye. Ce dernier réclame à son tour les faveurs de N. A. S. L’enfant refuse et tente de se sauver dans un premier temps, avant de céder après que le vulcanisateur a menacé de tout révéler à sa tante et tutrice.
«Les deux amis transforment ainsi en objet sexuel la gamine», menaçant de la jeter en pâture dans le quartier à la moindre résistance, révèle "Les Échos". Qui souligne que les abus se déroulaient tantôt au niveau de l’écurie du charretier, tantôt au niveau de la terrasse du domicile du vulcanisateur.
L’affaire éclate un jour dans des conditions non précisées par le journal. «Informé, souffle la même source, le délégué du quartier alerte la tante-tutrice de la fille. Celle-ci conduit la petite dans un centre hospitalier, où le gynécologue conclut à une perte de l’hymen et des lésions anciennes, consécutives aux viols répétitifs.»
Cuisinée par sa tutrice, N. A. S., en larmes, confie avoir subi pendant sept ans, les assauts de Ch. Sy et M. Ndiaye. Munie d’un certificat, la tante de la victime présumée, aujourd’hui âgée de 17 ans, saisit la police de Sicap Mbao, d’une plainte contre le charretier et le vulcanisateur.
Ces derniers attendent d’être fixés sur leur sort au parquet de Pikine.
La victime se nomme N. A. S. L’affaire, qui s’est déroulée à Sicap Mbao, a duré sept ans. Elle a commencé en 2017, selon "Les Échos", repris par "Seneweb".
Dans son récit, le journal rapporte que c’est Sy qui a fait la connaissance de la victime présumée en premier. «Il profite de sa naïveté, l’entraîne souvent dans son écurie et entretient des rapports sexuels avec elle», déroule la source.
Un jour, poursuit "Les Échos", alors qu’il est en pleins ébats sexuels avec la petite dans l’écurie, le charretier est surpris par son ami M. Ndiaye. Ce dernier réclame à son tour les faveurs de N. A. S. L’enfant refuse et tente de se sauver dans un premier temps, avant de céder après que le vulcanisateur a menacé de tout révéler à sa tante et tutrice.
«Les deux amis transforment ainsi en objet sexuel la gamine», menaçant de la jeter en pâture dans le quartier à la moindre résistance, révèle "Les Échos". Qui souligne que les abus se déroulaient tantôt au niveau de l’écurie du charretier, tantôt au niveau de la terrasse du domicile du vulcanisateur.
L’affaire éclate un jour dans des conditions non précisées par le journal. «Informé, souffle la même source, le délégué du quartier alerte la tante-tutrice de la fille. Celle-ci conduit la petite dans un centre hospitalier, où le gynécologue conclut à une perte de l’hymen et des lésions anciennes, consécutives aux viols répétitifs.»
Cuisinée par sa tutrice, N. A. S., en larmes, confie avoir subi pendant sept ans, les assauts de Ch. Sy et M. Ndiaye. Munie d’un certificat, la tante de la victime présumée, aujourd’hui âgée de 17 ans, saisit la police de Sicap Mbao, d’une plainte contre le charretier et le vulcanisateur.
Ces derniers attendent d’être fixés sur leur sort au parquet de Pikine.