Le réseau social Facebook a mis à jour lundi sa politique et clarifié ses règles sur ce qu'il est convenable de poster, sur des sujets sensibles comme la violence, les discours haineux ou encore l'apologie du terrorisme.
Facebook a notamment indiqué qu'il n'autorisait plus la présence sur sa plateforme de groupes qui font l'apologie "d'activités terroristes, d'organisations criminelles ou qui promeuvent la haine".
Selon les nouvelles directives mises en ligne sur le blog officiel du réseau social, ce dernier retirera "les images explicites quand elles sont partagées par sadisme ou pour glorifier la violence".
"Ces normes sont conçues pour créer un environnement où l'on se sent motivé et encouragé à traiter les autres avec empathie et respect", ont écrit la responsable de la politique éditoriale du groupe, Monika Bickert, ainsi que le conseiller général adjoint Chris Sonderby.
"Tandis que notre politique et nos normes restaient inchangées, nous avons senti la demande des utilisateurs pour plus de clarté et d'exemples et c'est ce que nous faisons avec cette mise à jour aujourd'hui".
Nouveauté: la nudité est désormais également bannie de Facebook, sauf pour des images d'allaitement, d'art ou des photos médicales.
Les utilisateurs devront également utiliser leur "vrai nom", une demande impopulaire qui devrait notamment s'attirer les foudres de ceux qui utilisent des noms de scène.
Le réseau social se réserve le droit d'effacer les contenus et de fermer les comptes lorsqu'il considère qu'il y a "une véritable menace physique ou un risque direct pour la sécurité publique".
"C'est un défi de constituer une série de normes qui répondent aux besoins d'une communauté internationale et variée", précisent-ils.
"Ca l'est tout particulièrement concernant les discours haineux. Ils ont toujours été bannis de Facebook et, dans notre nouvelle politique, nous expliquons nos efforts pour garder notre communauté à l'abri de ce genre de langage".
Facebook avait déjà indiqué plus tôt dans l'année mettre des avertissements sur les "contenus explicites".
Il a toutefois nuancé en précisant que "quelque chose qui peut vous sembler désagréable ou vous déranger n'enfreint pas forcément nos normes".
Cette clarification de la politique éditoriale intervient dans un contexte où Facebook et le reste des réseaux sociaux doivent jongler entre la préservation de la liberté d'expression et la lutte contre les discours radicaux, notamment ceux qui font l’apologie des groupes jihadistes comme l'organisation État islamique.
Facebook a, en parallèle, publié son rapport sur les demandes des gouvernements concernant les données des utilisateurs pour le second semestre 2014, qui montre une légère hausse de 34 946 à 35 051 requêtes.
"Il y a eu une hausse en matière de demande de données provenant de pays comme l'Inde et une baisse pour les États-Unis et l'Allemagne", a indiqué Facebook.
Le nombre de contenus bloqués car ils enfreignent la loi du pays a par ailleurs bondi de 11%, passant de 8774 à 9707 cas.
Facebook a notamment indiqué qu'il n'autorisait plus la présence sur sa plateforme de groupes qui font l'apologie "d'activités terroristes, d'organisations criminelles ou qui promeuvent la haine".
Selon les nouvelles directives mises en ligne sur le blog officiel du réseau social, ce dernier retirera "les images explicites quand elles sont partagées par sadisme ou pour glorifier la violence".
"Ces normes sont conçues pour créer un environnement où l'on se sent motivé et encouragé à traiter les autres avec empathie et respect", ont écrit la responsable de la politique éditoriale du groupe, Monika Bickert, ainsi que le conseiller général adjoint Chris Sonderby.
"Tandis que notre politique et nos normes restaient inchangées, nous avons senti la demande des utilisateurs pour plus de clarté et d'exemples et c'est ce que nous faisons avec cette mise à jour aujourd'hui".
Nouveauté: la nudité est désormais également bannie de Facebook, sauf pour des images d'allaitement, d'art ou des photos médicales.
Les utilisateurs devront également utiliser leur "vrai nom", une demande impopulaire qui devrait notamment s'attirer les foudres de ceux qui utilisent des noms de scène.
Le réseau social se réserve le droit d'effacer les contenus et de fermer les comptes lorsqu'il considère qu'il y a "une véritable menace physique ou un risque direct pour la sécurité publique".
"C'est un défi de constituer une série de normes qui répondent aux besoins d'une communauté internationale et variée", précisent-ils.
"Ca l'est tout particulièrement concernant les discours haineux. Ils ont toujours été bannis de Facebook et, dans notre nouvelle politique, nous expliquons nos efforts pour garder notre communauté à l'abri de ce genre de langage".
Facebook avait déjà indiqué plus tôt dans l'année mettre des avertissements sur les "contenus explicites".
Il a toutefois nuancé en précisant que "quelque chose qui peut vous sembler désagréable ou vous déranger n'enfreint pas forcément nos normes".
Cette clarification de la politique éditoriale intervient dans un contexte où Facebook et le reste des réseaux sociaux doivent jongler entre la préservation de la liberté d'expression et la lutte contre les discours radicaux, notamment ceux qui font l’apologie des groupes jihadistes comme l'organisation État islamique.
Facebook a, en parallèle, publié son rapport sur les demandes des gouvernements concernant les données des utilisateurs pour le second semestre 2014, qui montre une légère hausse de 34 946 à 35 051 requêtes.
"Il y a eu une hausse en matière de demande de données provenant de pays comme l'Inde et une baisse pour les États-Unis et l'Allemagne", a indiqué Facebook.
Le nombre de contenus bloqués car ils enfreignent la loi du pays a par ailleurs bondi de 11%, passant de 8774 à 9707 cas.