In-extenso, l’intégralité de sa publication
« Depuis quelques temps, le Sénégal est épisodiquement émaillé de violences multiformes. Il y va des violences physiques, verbales, conjugales, sportives, virtuelles, etc. Elles sont régulièrement dénoncées sans qu’aucune mesure effective ne soit prise, notamment par l’autorité publique.
Si les causes appellent à des facteurs multiples, on peut être d’accord que la famille et l’État, instances suprêmes de socialisation, sont interrogés et interpellés, chacun, en ce qui le concerne.
Au-delà d’observer que nos jeunes en subissent lourdement les conséquences et que s’en suivent le délitement du lien social et l’incapacité des autorités à assurer la sécurité publique, il nous faut discuter de manière profonde et sans complaisance, des facteurs déstabilisants, qui sont aussi liés à un jeu politique d’instrumentalisation de notre commun vouloir de vie commune.
À ce niveau, notre parti AWALE misera toujours sur l’éducation et la connaissance, pour prévenir les violences et raffermir les liens qui nous unissent dans les espaces, où l’on se réunit pour le partage, la saine compétition et la convivialité.
La paix sociale, tant vantée dans notre pays, avec des repères sociohistoriques certains, est mise à rude épreuve par l’incurie ambiante et l’irresponsabilité partagée, qu’il faudra nécessairement prévenir, sanctionner et bannir, avant que notre stabilité ne soit menacée et que notre jeune génération ne soit héritière d’un climat sociopolitique tendu.
Comme les concitoyens ont eu à constater les violences dans le champ politique, la lutte et le football, nous nous désolons de ce qui s’est passé au Stade Ngalandou Diouf de Rufisque lors du Match opposant l’ASC Thiawlene et l’ASC Guif et compatissons à l’endroit des Sénégalais affectés par les heurts et le drame.
À la population de Rufisque, j’exprime, à mon nom propre et au nom de notre parti AWALE, notre compassion, nos condoléances et notre sollicitude.
« Depuis quelques temps, le Sénégal est épisodiquement émaillé de violences multiformes. Il y va des violences physiques, verbales, conjugales, sportives, virtuelles, etc. Elles sont régulièrement dénoncées sans qu’aucune mesure effective ne soit prise, notamment par l’autorité publique.
Si les causes appellent à des facteurs multiples, on peut être d’accord que la famille et l’État, instances suprêmes de socialisation, sont interrogés et interpellés, chacun, en ce qui le concerne.
Au-delà d’observer que nos jeunes en subissent lourdement les conséquences et que s’en suivent le délitement du lien social et l’incapacité des autorités à assurer la sécurité publique, il nous faut discuter de manière profonde et sans complaisance, des facteurs déstabilisants, qui sont aussi liés à un jeu politique d’instrumentalisation de notre commun vouloir de vie commune.
À ce niveau, notre parti AWALE misera toujours sur l’éducation et la connaissance, pour prévenir les violences et raffermir les liens qui nous unissent dans les espaces, où l’on se réunit pour le partage, la saine compétition et la convivialité.
La paix sociale, tant vantée dans notre pays, avec des repères sociohistoriques certains, est mise à rude épreuve par l’incurie ambiante et l’irresponsabilité partagée, qu’il faudra nécessairement prévenir, sanctionner et bannir, avant que notre stabilité ne soit menacée et que notre jeune génération ne soit héritière d’un climat sociopolitique tendu.
Comme les concitoyens ont eu à constater les violences dans le champ politique, la lutte et le football, nous nous désolons de ce qui s’est passé au Stade Ngalandou Diouf de Rufisque lors du Match opposant l’ASC Thiawlene et l’ASC Guif et compatissons à l’endroit des Sénégalais affectés par les heurts et le drame.
À la population de Rufisque, j’exprime, à mon nom propre et au nom de notre parti AWALE, notre compassion, nos condoléances et notre sollicitude.