« L’Université ne doit pas être une zone de non-droit. Les franchises universitaires constituent un obstacle au travail de police. Les autorités administratives devraient être dans le campus social. Parce qu’effectivement, des étudiants commettent des forfaits à l’intérieur de l’espace. Mais, en vertu de ces franchises, il est très difficile de faire intervenir la police», a constaté Maguette Sène, lors de son passage dans l’émission ‘’Rfm Matin’’ de ce lundi 27 juin 2022.
Ainsi, les policiers, regrette-t-il, sont obligés de jouer et d’attendre que l’étudiant sorte du campus pour pouvoir l’appréhender. «Je crois qu’il est temps aujourd’hui, en concert avec les amicales d’étudiants, que l’on puisse discuter pour voir, pour certains cas de flagrants délits, comment permettre à la police, automatiquement, d’intervenir dans le campus social et appréhender certains malfaiteurs. C’est une urgence de l’heure. Parce que tout le monde en est conscient», a recommandé l’administrateur civil.
«Il faut faire intervenir les forces de l’ordre dans l’université, en cas de violences avérées d’un étudiant sur un autre ou d’un étudiant sur des travailleurs du Coud. Il est temps qu’on puisse réfléchir à cela et juste appeler les étudiants, les rassurer, en leur disant que nous sommes une autorité administrative à égale distance de tous les étudiants et que tout étudiant dans l’espace qui commet certains délits ou crimes, ne doit pas échapper à la loi. Cependant, cela peut prendre du temps, en raison des franchises universitaires», relève Maguette Sène.
Ainsi, les policiers, regrette-t-il, sont obligés de jouer et d’attendre que l’étudiant sorte du campus pour pouvoir l’appréhender. «Je crois qu’il est temps aujourd’hui, en concert avec les amicales d’étudiants, que l’on puisse discuter pour voir, pour certains cas de flagrants délits, comment permettre à la police, automatiquement, d’intervenir dans le campus social et appréhender certains malfaiteurs. C’est une urgence de l’heure. Parce que tout le monde en est conscient», a recommandé l’administrateur civil.
«Il faut faire intervenir les forces de l’ordre dans l’université, en cas de violences avérées d’un étudiant sur un autre ou d’un étudiant sur des travailleurs du Coud. Il est temps qu’on puisse réfléchir à cela et juste appeler les étudiants, les rassurer, en leur disant que nous sommes une autorité administrative à égale distance de tous les étudiants et que tout étudiant dans l’espace qui commet certains délits ou crimes, ne doit pas échapper à la loi. Cependant, cela peut prendre du temps, en raison des franchises universitaires», relève Maguette Sène.