Selon des statistiques, les violences sexuelles viennent en tête, avec 357 cas (dont 101 à Kébémer, 74 pour Pikine et 47 pour Kolda). Suivent les violences physiques avec 312 cas (dont Pikine 95, Médina 74) et les violences psychologiques avec 228 cas (Pikine 109, Médina 59).
Il y a ensuite les violences économiques fortes de 274 cas (dont 64 à Pikine et 57 à la Médina), la maltraitance des enfants avec cinq cas (dont deux à Sédhiou et autant à Kaolack).
En outre, concernant la prise en charge juridique et judiciaire des victimes, selon nos informations, s'il y a besoin de représentation au tribunal, l’AJS lui commet un avocat. Mais avant cela, les préalables sont déjà faits par une consultante, qui rédige la plainte et donne les conseils nécessaires.
Il faut signaler que la commission d'avocats est possible grâce au fonds d'assistance judiciaire mis à leur disposition par leurs partenaires, comme dans les cas de violences économiques. Par exemple, s’il y a refus de verser une pension alimentaire ou en cas de refus d'exécuter une décision de justice favorable à la victime, la boutique lui commet un huissier pour faire valoir ses droits, grâce toujours au fonds d'assistance judiciaire. Pour certains cas, où une solution à l'amiable peut être trouvée, la coordinatrice de la boutique de droit concernée appelle l'autre partie pour faire une médiation.
Pour la prise en charge sociale, grâce à la caisse sociale de l'AJS, certaines victimes sont assistées pour assurer soit le transport, soit payer des ordonnances ou autres frais.
En l'absence de fonds, l’AJS réfère la concernée vers les services de l'Action sociale, service privilégié en matière de prise en charge sociale. Également, il peut y avoir des cas d’enfants victimes de violence.
Grâce au fonds de réhabilitation mis en place conjointement par l'AJS et le Centre de guidance infantile et familiale (Cegid), une prise en charge sociale est assurée aux enfants de l'un ou de l'autre sexe victime de violence. Dans les cas où la victime n'a pas où loger, si c'est à Dakar, l'hébergement d'urgence est offert par leurs partenaires.
Il y a ensuite les violences économiques fortes de 274 cas (dont 64 à Pikine et 57 à la Médina), la maltraitance des enfants avec cinq cas (dont deux à Sédhiou et autant à Kaolack).
En outre, concernant la prise en charge juridique et judiciaire des victimes, selon nos informations, s'il y a besoin de représentation au tribunal, l’AJS lui commet un avocat. Mais avant cela, les préalables sont déjà faits par une consultante, qui rédige la plainte et donne les conseils nécessaires.
Il faut signaler que la commission d'avocats est possible grâce au fonds d'assistance judiciaire mis à leur disposition par leurs partenaires, comme dans les cas de violences économiques. Par exemple, s’il y a refus de verser une pension alimentaire ou en cas de refus d'exécuter une décision de justice favorable à la victime, la boutique lui commet un huissier pour faire valoir ses droits, grâce toujours au fonds d'assistance judiciaire. Pour certains cas, où une solution à l'amiable peut être trouvée, la coordinatrice de la boutique de droit concernée appelle l'autre partie pour faire une médiation.
Pour la prise en charge sociale, grâce à la caisse sociale de l'AJS, certaines victimes sont assistées pour assurer soit le transport, soit payer des ordonnances ou autres frais.
En l'absence de fonds, l’AJS réfère la concernée vers les services de l'Action sociale, service privilégié en matière de prise en charge sociale. Également, il peut y avoir des cas d’enfants victimes de violence.
Grâce au fonds de réhabilitation mis en place conjointement par l'AJS et le Centre de guidance infantile et familiale (Cegid), une prise en charge sociale est assurée aux enfants de l'un ou de l'autre sexe victime de violence. Dans les cas où la victime n'a pas où loger, si c'est à Dakar, l'hébergement d'urgence est offert par leurs partenaires.