Bien des filles, parties répondre à l'invitation d'amis, l'ont regretté le lendemain sans pour autant pouvoir dénoncer ceux qui ont abusé d'elles. Les astuces de leurs bourreaux sont simples : disposer discrètement d'un somnifère et profiter de l'inattention ou de l'absence momentanée de leurs cibles pour le distiller dans leurs verres ou bouteilles de boisson. Il ne leur restera que d'attendre de voir les premiers effets de leur drogue pour ensuite les transporter dans leurs lits ou véhicules pour satisfaire leur libido. Après, les malheureuses proies, ayant perdu conscience, sont savamment ramenées ou introduit dans un taxi. L'adresse est indiquée au taximan qui peut même profiter de l'inconscience de sa "cliente". C'est quand le lendemain, elles reprennent difficilement leurs esprits que les victimes finissent par réaliser les abus dont elles ont été l'objet : des traces de sperme et souvent la perte de leur hymen. Naturellement, elles s'effondrent. Bien des filles ont été ainsi traumatisées à jamais. D'autres en sont sorties avec des grossesses. Des femmes ont perdu leur ménage avec ce procédé, surtout celles dont leurs maris ne vivent pas au pays. Ces abus ont même fait l'objet de téléfilms. Mais ce ne sont pas seulement des filles ou femmes qui sont tombées dans ce piège. On se rappelle le cas de ce vigile qui avait porté plainte contre un agent d'une diplomatie de son pays à Dakar. Il tissera progressivement une relation amicale avec le gardien. Finalement, il l'invitera dans son appartement. Le malheureux prendra sans soupçon la boisson qui lui était servie. Au réveil, il découvrira des traces de sperme dans ses parties intimes. Là où il n'a jamais pensé et voulu. Atteint dans sa dignité, il réclamera justice. Mais depuis, peu de gens savent la suite qui a été donnée à l'affaire.
Nous sommes dans un pays où, devant les délits et sévices sexuels, les arrangements sont entrepris, même par des chefs de quartier, notables et policiers pour régler l'affaire. Mais la victime ne pourra jamais oublier. Entre copines, certaines filles qui ont été droguées et violées conseillent à celles qui n'ont pas vécu ce drame de revenir toujours des boites de nuit, sans accepter de prendre un verre offert par une connaissance suspecte ou un étranger. C'est le meilleur moyen d'échapper aux lâches qui profitent de la drogue pour satisfaire leurs bas instincts. Les victimes sont nombreuses mais peu d'entre elles osent confier leurs malheurs.
Nous sommes dans un pays où, devant les délits et sévices sexuels, les arrangements sont entrepris, même par des chefs de quartier, notables et policiers pour régler l'affaire. Mais la victime ne pourra jamais oublier. Entre copines, certaines filles qui ont été droguées et violées conseillent à celles qui n'ont pas vécu ce drame de revenir toujours des boites de nuit, sans accepter de prendre un verre offert par une connaissance suspecte ou un étranger. C'est le meilleur moyen d'échapper aux lâches qui profitent de la drogue pour satisfaire leurs bas instincts. Les victimes sont nombreuses mais peu d'entre elles osent confier leurs malheurs.