La Bosnie, le Rwanda, la Sierra-Léone…, sont autant de noms qui résonnent douloureusement aux oreilles de beaucoup de femmes et de jeunes filles. Ces pays, tristement célèbres pour avoir été le théâtre de guerres civiles, ont aussi la particularité d’avoir utilisé les pires méthodes en temps de conflit : celui du viol quasi-systématique des femmes du camp ennemi.
Pour éviter que de tels actes continuent de se produire, soutient Amnesty international dans un communiqué, le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté mercredi 30 septembre à l'unanimité une résolution exigeant qu'il soit mis fin à ce fléau. Un combat porté à bras-le-corps par la secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton, particulièrement sensibilisée à ce sujet depuis sa visite en août en République démocratique du Congo (Rdc). Dans cette région, violences et atrocités sexuelles sont commises à grande échelle et de manière systématique contre les femmes et les jeunes filles, notamment dans les régions instables de l'est et du nord-est. Cette résolution de l'Onu ne saurait s'isoler des récents développements de l'actualité en Guinée Conakry où l'on a noté beaucoup de cas de viols sur des femmes lors du conflit sanglant qui a opposé des militants de l’opposition à la junte au pouvoir.
En effet, l'opposition ainsi que des Organisations non gouvernementales affirment que des femmes ont été violées par des militaires. ‘Nous avons des informations très inquiétantes de femmes détenues dans des camps militaires et des commissariats qui sont violées’, a indiqué mardi dernier Mamadi Kaba, un responsable de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l'Homme (Raddho). Un autre opposant, Mouctar Diallo, a dit avoir été témoin de viols par des militaires, dans une interview à Radio France internationale (Rfi). A travers les antennes de cette même radio, un militaire, acteur des tueries, a confirmé les cas de viols perpétrés par ses frères d'arme. Une situation qui pourrait être chère au capitaine Dadis Camara dans la mesure où il n'est pas exempt de sanctions onusiennes, à travers cette nouvelle résolution.
Par ailleurs, fait remarquer Amnesty international, si ces crimes sont de plus en plus dénoncés sur la scène internationale, les agresseurs continuent d’utiliser en masse ces méthodes ancestrales d’intimidation, particulièrement efficaces pour terroriser la population civile. ‘Les meurtres, les viols généralisés ainsi que les autres formes de violence sexuelle sont utilisés dans le but de démoraliser l’ennemi, de le déshumaniser et de l’exterminer’, explique l’association de défense des droits de l’Homme.
Pour éviter que de tels actes continuent de se produire, soutient Amnesty international dans un communiqué, le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté mercredi 30 septembre à l'unanimité une résolution exigeant qu'il soit mis fin à ce fléau. Un combat porté à bras-le-corps par la secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton, particulièrement sensibilisée à ce sujet depuis sa visite en août en République démocratique du Congo (Rdc). Dans cette région, violences et atrocités sexuelles sont commises à grande échelle et de manière systématique contre les femmes et les jeunes filles, notamment dans les régions instables de l'est et du nord-est. Cette résolution de l'Onu ne saurait s'isoler des récents développements de l'actualité en Guinée Conakry où l'on a noté beaucoup de cas de viols sur des femmes lors du conflit sanglant qui a opposé des militants de l’opposition à la junte au pouvoir.
En effet, l'opposition ainsi que des Organisations non gouvernementales affirment que des femmes ont été violées par des militaires. ‘Nous avons des informations très inquiétantes de femmes détenues dans des camps militaires et des commissariats qui sont violées’, a indiqué mardi dernier Mamadi Kaba, un responsable de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l'Homme (Raddho). Un autre opposant, Mouctar Diallo, a dit avoir été témoin de viols par des militaires, dans une interview à Radio France internationale (Rfi). A travers les antennes de cette même radio, un militaire, acteur des tueries, a confirmé les cas de viols perpétrés par ses frères d'arme. Une situation qui pourrait être chère au capitaine Dadis Camara dans la mesure où il n'est pas exempt de sanctions onusiennes, à travers cette nouvelle résolution.
Par ailleurs, fait remarquer Amnesty international, si ces crimes sont de plus en plus dénoncés sur la scène internationale, les agresseurs continuent d’utiliser en masse ces méthodes ancestrales d’intimidation, particulièrement efficaces pour terroriser la population civile. ‘Les meurtres, les viols généralisés ainsi que les autres formes de violence sexuelle sont utilisés dans le but de démoraliser l’ennemi, de le déshumaniser et de l’exterminer’, explique l’association de défense des droits de l’Homme.
Accueil
Envoyer à un ami
Partager sur facebook
