C’est l’avocat français Me Rocheblave qui relate sur son site l’affaire, jugée par la cour d’Appel de Nîmes en 2010. L’employé dont il est question était cadre responsable de projet, et ses fonctions l’amenaient à voyager souvent à l’étranger. Après un voyage en Thaïlande, ses notes de frais ont été examinées par son employeur, traduites du thaïlandais et vérifiées par un comptable.
"Jeune fille, 2"
Celui-ci a constaté qu’une grande partie des notes de frais concernait des bouteilles d’alcools. Mais ce n’est pas tout : les factures font aussi état de l’achat de trois boîtes de préservatifs Durex, de vaseline et d’un DVD intitulé Belles Diablesses. Enfin, une dernière facture mentionne une quantité de "2" correspondant à une description de "jeune fille"… Des frais qui peuvent difficilement être considérés comme professionnels.
"Il est évident que vous n’avez absolument pas effectué le travail qui vous était demandé, consacrant votre temps de travail à des divertissements personnels. Vous avez de surcroît voulu faire rembourser les frais engagés pour ces divertissements" a estimé la Cour d’Appel de Nîmes.
Une faute grave donc, qui a justifié son licenciement immédiat.
"Jeune fille, 2"
Celui-ci a constaté qu’une grande partie des notes de frais concernait des bouteilles d’alcools. Mais ce n’est pas tout : les factures font aussi état de l’achat de trois boîtes de préservatifs Durex, de vaseline et d’un DVD intitulé Belles Diablesses. Enfin, une dernière facture mentionne une quantité de "2" correspondant à une description de "jeune fille"… Des frais qui peuvent difficilement être considérés comme professionnels.
"Il est évident que vous n’avez absolument pas effectué le travail qui vous était demandé, consacrant votre temps de travail à des divertissements personnels. Vous avez de surcroît voulu faire rembourser les frais engagés pour ces divertissements" a estimé la Cour d’Appel de Nîmes.
Une faute grave donc, qui a justifié son licenciement immédiat.