Le lutteur n’a pas toujours déféré à la convocation. Il n’est pas toujours sorti de sa cachette depuis qu’il est recherché par la police. Il est imité dans sa fuite par son complice, le commerçant nommé Salam, qui également a disparu dans la nature, indique des sources de "L’Observateur". Ce dernier a échappé à une descente de la police qui est à ses trousses. Entré en cavale, il est activement recherché.
Le tailleur, qui voulait se rendre en France, était tombé d’accord avec l’intermédiaire Salam, proche du « puncheur du Walo », pour un versement de 4 millions FCfa. Le tailleur ne remet que 3,5 millions FCfa au lutteur, en présence de l’intermédiaire Salam et se met à rêver.
De guerre lasse, le tailleur dépose une plainte et l’adresse au procureur du tribunal de Pikine-Guédiawaye. La police de Wakhinane Nimzatt est rapidement instruite par la hiérarchie, d’ouvrir une enquête.
Suite à l’audition du plaignant, l’intermédiaire Salam est localisé à Gadaye et il défère à la convocation. Le proche du lutteur reconnaît sans ambages les faits qui leur sont reprochés, indique "L’Observateur". Il tente néanmoins de protéger Lac 2, en demandant de leur accorder un délai pour rembourser la somme due.
Une première convocation pour le lutteur Lac de Guiers 2, qui traîne les pieds. La police effectue une descente chez lui, mais le lutteur de l’écurie Walo n’y était pas. Lac 2 ayant organisé son invisibilité, la police s’est lancée à ses trousses pour le retrouver.
Le tailleur, qui voulait se rendre en France, était tombé d’accord avec l’intermédiaire Salam, proche du « puncheur du Walo », pour un versement de 4 millions FCfa. Le tailleur ne remet que 3,5 millions FCfa au lutteur, en présence de l’intermédiaire Salam et se met à rêver.
De guerre lasse, le tailleur dépose une plainte et l’adresse au procureur du tribunal de Pikine-Guédiawaye. La police de Wakhinane Nimzatt est rapidement instruite par la hiérarchie, d’ouvrir une enquête.
Suite à l’audition du plaignant, l’intermédiaire Salam est localisé à Gadaye et il défère à la convocation. Le proche du lutteur reconnaît sans ambages les faits qui leur sont reprochés, indique "L’Observateur". Il tente néanmoins de protéger Lac 2, en demandant de leur accorder un délai pour rembourser la somme due.
Une première convocation pour le lutteur Lac de Guiers 2, qui traîne les pieds. La police effectue une descente chez lui, mais le lutteur de l’écurie Walo n’y était pas. Lac 2 ayant organisé son invisibilité, la police s’est lancée à ses trousses pour le retrouver.