Cette visite qui s’inscrit dans le cadre du raffermissement des relations d’amitié et de coopération entre le Sénégal et la Guinée est la première pour El Tigre depuis qu’il a été intronisé à la présidence par intérim de la République.
Elle fait suite à l’offensive diplomatique de séduction tous azimuts qu’entreprend le Général ¨Parusky, depuis les Accords de Ouagadougou, auprès de certains pays amis et partenaires de la Guinée. Selon des sources proches de la présidence de la République, ce déplacement qui était prévu dans l’agenda du général Konaté sur le chemin de son retour de Tripoli, a dû être annulé in-extremis. En raison de rumeurs persistantes de bruits de Bottes qui circulaient dans les rues de Conakry à l’époque. Des informations qui ont obligé le Tigre, précise-t-on, à écourter sa visite au pays du colonel Mouammar El Khaddfi pour regagner Conakry.
Pour beaucoup d’observateurs, cette visite va permettre de réchauffer les relations entre la junte militaire de Conakry et le président Me. Wade qui a été, faut-il le rappeler, le parrain et supporter numéro un du capitaine Dadis et compagnons dès les premières heures de leur avènement au pouvoir.
A ce titre, il sera le tout premier chef d’Etat à se rendre à Conakry à la prise du pouvoir par les militaires. Mais ce rapport prendra, au fil des temps, un coup de froid, une certaine distanciation entre Dakar et Conakry, disons, entre le père spirituel et son fils. Ces relations tendues font suite aux bourdes et dérives répétées du maître de la junte de Conakry, le Capitaine Moussa Dadis Camara face à ses nombreuses promesses faites lorsqu’il arrivait au pouvoir.
Entretenant le flou sur sa non candidature et celle des membres de la junte et du gouvernement qu’il a prônée au début, le capitaine Dadis est tombé progressivement dans un isolement politique et économique tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays. Cette crise de confiance va s’accentuer avec la sanglante répression des manifestations de l’opposition le 28 septembre au stade du même nom.
Le retour du président de la transition est prévu pour le vendredi 19 mars prochain à Conakry.
guineenews.org
Elle fait suite à l’offensive diplomatique de séduction tous azimuts qu’entreprend le Général ¨Parusky, depuis les Accords de Ouagadougou, auprès de certains pays amis et partenaires de la Guinée. Selon des sources proches de la présidence de la République, ce déplacement qui était prévu dans l’agenda du général Konaté sur le chemin de son retour de Tripoli, a dû être annulé in-extremis. En raison de rumeurs persistantes de bruits de Bottes qui circulaient dans les rues de Conakry à l’époque. Des informations qui ont obligé le Tigre, précise-t-on, à écourter sa visite au pays du colonel Mouammar El Khaddfi pour regagner Conakry.
Pour beaucoup d’observateurs, cette visite va permettre de réchauffer les relations entre la junte militaire de Conakry et le président Me. Wade qui a été, faut-il le rappeler, le parrain et supporter numéro un du capitaine Dadis et compagnons dès les premières heures de leur avènement au pouvoir.
A ce titre, il sera le tout premier chef d’Etat à se rendre à Conakry à la prise du pouvoir par les militaires. Mais ce rapport prendra, au fil des temps, un coup de froid, une certaine distanciation entre Dakar et Conakry, disons, entre le père spirituel et son fils. Ces relations tendues font suite aux bourdes et dérives répétées du maître de la junte de Conakry, le Capitaine Moussa Dadis Camara face à ses nombreuses promesses faites lorsqu’il arrivait au pouvoir.
Entretenant le flou sur sa non candidature et celle des membres de la junte et du gouvernement qu’il a prônée au début, le capitaine Dadis est tombé progressivement dans un isolement politique et économique tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays. Cette crise de confiance va s’accentuer avec la sanglante répression des manifestations de l’opposition le 28 septembre au stade du même nom.
Le retour du président de la transition est prévu pour le vendredi 19 mars prochain à Conakry.
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