La teneur du message n’a pas été révélée. Paul Toungui a regagné Libreville le même jour, a indiqué la RTG1.
Cette brève visite est intervenue au lendemain de la révélation selon laquelle Macky Sall, ancien Premier ministre et ancien président de l’Assemblée nationale du Sénégal est impliqué dans « une affaire de blanchiment d’argent », par le ministère de l’Intérieur, Cheikh Tidiane Sy.
Dans un communiqué publié lundi soir, le ministère sénégalais de l’Intérieur a fait état de « l’existence d’un réseau de blanchiment d’argent sale impliquant Monsieur Macky Sall, ancien président de l’Assemblée nationale et Abdoulaye Sali Sall, de nationalité sénégalaise, résident au Gabon ».
L’ouverture d’une enquête aurait permis « d’intercepter des correspondances avec un chef d’Etat africain tendant à avaliser l’idée que les fonds incriminés proviendraient de ce dernier », a précisé le communiqué du ministre sénégalais de l’Intérieur.
L’intéressé à nié ces graves accusations qui interviennent dans un contexte de pré-campagne électorale. Macky Sall, tombé récemment en disgrâce, se prépare à s’engager dans les prochaines élections locales contre ses anciens alliés de la mouvance présidentielle avec son nouveau parti politique. Ses partisans dénoncent un coup tordu du pouvoir pour le discrétider.
Cette brève visite est intervenue au lendemain de la révélation selon laquelle Macky Sall, ancien Premier ministre et ancien président de l’Assemblée nationale du Sénégal est impliqué dans « une affaire de blanchiment d’argent », par le ministère de l’Intérieur, Cheikh Tidiane Sy.
Dans un communiqué publié lundi soir, le ministère sénégalais de l’Intérieur a fait état de « l’existence d’un réseau de blanchiment d’argent sale impliquant Monsieur Macky Sall, ancien président de l’Assemblée nationale et Abdoulaye Sali Sall, de nationalité sénégalaise, résident au Gabon ».
L’ouverture d’une enquête aurait permis « d’intercepter des correspondances avec un chef d’Etat africain tendant à avaliser l’idée que les fonds incriminés proviendraient de ce dernier », a précisé le communiqué du ministre sénégalais de l’Intérieur.
L’intéressé à nié ces graves accusations qui interviennent dans un contexte de pré-campagne électorale. Macky Sall, tombé récemment en disgrâce, se prépare à s’engager dans les prochaines élections locales contre ses anciens alliés de la mouvance présidentielle avec son nouveau parti politique. Ses partisans dénoncent un coup tordu du pouvoir pour le discrétider.