Au-delà des difficultés financières qui sont réelles et qui ont presque provoqué une cessation de paiement. L’Etat aussi se trouve être un mauvais client, selon le quotidien parcouru par leral. Des sources concordantes au niveau du ministère des transports aériens renseigne que les autorités gouvernementales n’ont pas à ce jour honoré les 2,9 milliards de F Cfa au profit de Sénégal Airlines pour renflouer ses caisses.
D’ailleurs des sources dignes de foi informent que le directeur commercial Christophe Leloup a été remercié. Il n’est pas le seul, le directeur du système informatique a été aussi prié de faire ses bagages. Tension de trésorerie, incompétence ou insuffisance de résultats ?
Des sources révèlent qu’à Sénégal Airlines, mieux vaut être un expatrié qu’un sénégalais. Les cinq directeurs expatriés sont grassement payés. Ils touchent entre 7 et 10 millions là où les nationaux sont rémunérés à hauteur de 3millions. Ce qui a plombé aussi les ailes de la jeune compagnie se sont les choix stratégiques opéré par les promoteurs.
Les spécialistes n’ont pas compris pourquoi les promoteurs ont jeté leur dévolu sur de gros avions de type Airbus A 320 avant d’enrichir progressivement la flotte d’un ATR 42-500. Alors qu’à côté, la rentabilité financière ne suit pas. En effet, ces avions sont trop gros pour de courtes distances.
D’ailleurs des sources dignes de foi informent que le directeur commercial Christophe Leloup a été remercié. Il n’est pas le seul, le directeur du système informatique a été aussi prié de faire ses bagages. Tension de trésorerie, incompétence ou insuffisance de résultats ?
Des sources révèlent qu’à Sénégal Airlines, mieux vaut être un expatrié qu’un sénégalais. Les cinq directeurs expatriés sont grassement payés. Ils touchent entre 7 et 10 millions là où les nationaux sont rémunérés à hauteur de 3millions. Ce qui a plombé aussi les ailes de la jeune compagnie se sont les choix stratégiques opéré par les promoteurs.
Les spécialistes n’ont pas compris pourquoi les promoteurs ont jeté leur dévolu sur de gros avions de type Airbus A 320 avant d’enrichir progressivement la flotte d’un ATR 42-500. Alors qu’à côté, la rentabilité financière ne suit pas. En effet, ces avions sont trop gros pour de courtes distances.