Feu Léopold Sédar n’avait pas tort de le rebaptiser “Ndiomboor” (lapin, le rusé), et pour cause.
Me Abdoulaye Wade est crédité d’ourdir un plan qui, s’il réussissait, prendrait de court plus d’un, en direction de la candidature du Parti démocratique sénégalais (Pds) à la Présidentielle de 2017.
De quoi s’agit-il ? En fait, selon plusieurs responsables libéraux contactés par Actusen.com, derrière la décision du Secrétaire général national du Pds de permettre à tout militant de désigner, au sein du Pds, un candidat de son choix, se cacherait une volonté de la constante libérale de permettre à son fils Karim Wade de déposer sa candidature, depuis la prison où il se trouve.
Une fois cela fait, Me Abdoulaye Wade, qui traine un long cours, en termes de manoeuvres politiques, pourrait activer ses leviers au sein du Parti, pour faire pencher la balance du côté de son rejeton Karim Wade. Afin de faire de celui-ci le candidat des libéraux.
Ce coup devrait ainsi être perpétré, le 20 mars prochain, soit à trois jours de l’Arrêt que rendra la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).
De ce fait, si le Président de la Crei, Henry Grégoire Diop, condamne son fils Karim Wade, la “divinité” du Parti démocratique sénégalais pourrait, à cet effet, draguer les médias et faire descendre dans les rues ses troupes.
Au motif que, pourrait-il invoquer, la Crei qu’il a toujours qualifiée de bras séculier du régime de Macky Sall veut empêcher Karim Wade d’être candidat à la Présidentielle de 2017.
Reste maintenant à savoir est-ce que la Commission d’investitures dirigée par l’ancien ministre des Affaires étrangères, Me Madické Niang, proche parmi les plus proches de la famille des Wade, aura-t-elle les coudées franches pour ne pas danser le tango avec Me Abdoulaye Wade.
Et ce, pour faire aboutir le projet funeste qui est prêté, à tort ou à raison, à un vieil opposant grabataire, qui fait de la manoeuvre politique sa principale tasse de thé. En atteste la réunion sans débats du Pds de ce 5 mars 2015, qui n’a duré qu’une poignée de minutes.
Actusen.com
Me Abdoulaye Wade est crédité d’ourdir un plan qui, s’il réussissait, prendrait de court plus d’un, en direction de la candidature du Parti démocratique sénégalais (Pds) à la Présidentielle de 2017.
De quoi s’agit-il ? En fait, selon plusieurs responsables libéraux contactés par Actusen.com, derrière la décision du Secrétaire général national du Pds de permettre à tout militant de désigner, au sein du Pds, un candidat de son choix, se cacherait une volonté de la constante libérale de permettre à son fils Karim Wade de déposer sa candidature, depuis la prison où il se trouve.
Une fois cela fait, Me Abdoulaye Wade, qui traine un long cours, en termes de manoeuvres politiques, pourrait activer ses leviers au sein du Parti, pour faire pencher la balance du côté de son rejeton Karim Wade. Afin de faire de celui-ci le candidat des libéraux.
Ce coup devrait ainsi être perpétré, le 20 mars prochain, soit à trois jours de l’Arrêt que rendra la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).
De ce fait, si le Président de la Crei, Henry Grégoire Diop, condamne son fils Karim Wade, la “divinité” du Parti démocratique sénégalais pourrait, à cet effet, draguer les médias et faire descendre dans les rues ses troupes.
Au motif que, pourrait-il invoquer, la Crei qu’il a toujours qualifiée de bras séculier du régime de Macky Sall veut empêcher Karim Wade d’être candidat à la Présidentielle de 2017.
Reste maintenant à savoir est-ce que la Commission d’investitures dirigée par l’ancien ministre des Affaires étrangères, Me Madické Niang, proche parmi les plus proches de la famille des Wade, aura-t-elle les coudées franches pour ne pas danser le tango avec Me Abdoulaye Wade.
Et ce, pour faire aboutir le projet funeste qui est prêté, à tort ou à raison, à un vieil opposant grabataire, qui fait de la manoeuvre politique sa principale tasse de thé. En atteste la réunion sans débats du Pds de ce 5 mars 2015, qui n’a duré qu’une poignée de minutes.
Actusen.com