« Tout pour un face à face avec le président Obama » : le chef de l’État sénégalais, qui pourrait jouer les grands rôles dans des films de science fiction, devrait bien interpréter ce titre. D’ailleurs, de fait, il s’y emploie : En Italie, depuis lundi dernier, il ne repassera à Dakar que le temps de régler quelques affaires urgentes. Car, 192 pays s’étant donné rendez-vous à Copenhague, il ne tient, pour rien au monde, à rater la rencontre, d’autant que le président américain, Barak Obama, avec lequel il cherche depuis plus d’un an à avoir un face-à-face, sera de la partie.
Ainsi Wade va reprendre un Boeing A 300. Pour qui sait le prix de location de cet avion, c’est le contribuable sénégalais qui va encore casquer, malgré lui et à l’image d’un « otage » qui ne peut pas faire autrement. Pourtant, il avait fait réparer l’avion présidentiel pour 35 milliards. N’empêche, il préfère prêter « La Pointe de Sangomar », si ce n’est son épouse qui voyage à bord, pour ses fréquents liftings et visites en Europe. Pourtant, encore, la tradition au pays des Yankees , dont il tient, coûte que coûte, à voir le président, est de rentabiliser les déplacements de « Force One ». Quand le président américain se déplace, il le fait avec des opérateurs économiques de son pays à bord. Ceux-ci profitent de ses voyages pour faire des affaires. En conséquence, ils déboursent de l’argent, de sorte que le contribuable américain ne paye pas ; La Maison blanche cherche à lui faire profiter des déplacements de son chef. Il en est ainsi, en France et dans l’ensemble des pays développés. Mais, le président Wade lui n’en a cure. Il aime paraître, quel qu’en soit le prix. Une mentalité d’un autre âge : celui du président Wade, dont le pays manque de tout face à la risée internationale.
XIBAR.NET
Ainsi Wade va reprendre un Boeing A 300. Pour qui sait le prix de location de cet avion, c’est le contribuable sénégalais qui va encore casquer, malgré lui et à l’image d’un « otage » qui ne peut pas faire autrement. Pourtant, il avait fait réparer l’avion présidentiel pour 35 milliards. N’empêche, il préfère prêter « La Pointe de Sangomar », si ce n’est son épouse qui voyage à bord, pour ses fréquents liftings et visites en Europe. Pourtant, encore, la tradition au pays des Yankees , dont il tient, coûte que coûte, à voir le président, est de rentabiliser les déplacements de « Force One ». Quand le président américain se déplace, il le fait avec des opérateurs économiques de son pays à bord. Ceux-ci profitent de ses voyages pour faire des affaires. En conséquence, ils déboursent de l’argent, de sorte que le contribuable américain ne paye pas ; La Maison blanche cherche à lui faire profiter des déplacements de son chef. Il en est ainsi, en France et dans l’ensemble des pays développés. Mais, le président Wade lui n’en a cure. Il aime paraître, quel qu’en soit le prix. Une mentalité d’un autre âge : celui du président Wade, dont le pays manque de tout face à la risée internationale.
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