Pour le libéral dont le fils est de plus en plus sous les feux de la rampe, celui-ci n’a commis aucune faute. Au contraire, a-t-il expliqué, c’est entre copains et copines que la bande de faussaires dont son fils, se défoulaient avec les chèques en question. L’ancien porte-parole de la Présidence a voulu démontrer que les individus, interpellés dans cette affaire, sont des jeunes qui croquent la vie à belle dents et sont incapables de mesurer la dangerosité de l’utilisation d’un chéquier volé.