Dans la soirée du 23 août 2018, sous une pluie battante, l’étudiante Touty Pène aborde Mamadou Mor Sarr, conducteur de moto Jakarta pour qu’il la conduise chez elle. La course est fixée à 300 FCfa.
C’est ainsi Mamadou Mor Sarr prend l’étudiante à bord de son engin. Mais arrivé à hauteur de la gare ferroviaire, le jeune homme de 34 ans prend un raccourci. Mais sa cliente exige qu’il reprenne le trajet normal. Il refuse d’écouter son interlocutrice et accélère sa moto jusqu’à un lieu désert.
D’un geste brusque qui a surpris la jeune femme, Mamadou l’agrippe avant de la faucher. Celle-ci tombe et le «Jakartaman» commence à lui enlever ses habits. Lorsque la fille se rebiffe, le jeune homme n’hésite pas à déchirer sa jupe, sa petite culotte et son soutien-gorge.
Après lui avoir administré quelques gifles, il lui met du sable sur le visage, dans la bouche et aux oreilles. N’empêche, Touty Pène continue de résister. C’est sur ces entrefaites que surgit une voiture. Pris de panique alors, Mamadou Mor Sarr prend le téléphone portable et quelques affaires de sa cliente avant de s’enfuir. Mais dans sa fuite, il perd son bracelet sur lequel sont inscrites les initiales «Mor.S».
Après avoir été secourue, Touty Pène ramasse le bracelet de son agresseur qu’elle dépose à la police et porte plainte pour vol et tentative de viol.
Grâce aux réquisitions de la police faites auprès de la Sonatel, le téléphone portable de Touty Pène est retrouvé chez la mère de Mamadou Mor Sarr. Interrogée, celle-ci déclare qu’elle l’a reçu de son fils. Dans la foulée, elle affirme que le bracelet appartient à son fils.
Ce que l’accusé a catégoriquement nié à la barre malgré la déposition faite par Touty Pène, qui l’a formellement identifié.
Changeant plusieurs fois de versions, Mamadou Mor Sall indique qu’il a acheté le téléphone à Saint-Louis, deux mois auparavant.
La Cour a reconnu Mamadou Mor Sarr coupable de tous les crimes dont il est accusé, avant de le condamner à 15 ans.
L’As
C’est ainsi Mamadou Mor Sarr prend l’étudiante à bord de son engin. Mais arrivé à hauteur de la gare ferroviaire, le jeune homme de 34 ans prend un raccourci. Mais sa cliente exige qu’il reprenne le trajet normal. Il refuse d’écouter son interlocutrice et accélère sa moto jusqu’à un lieu désert.
D’un geste brusque qui a surpris la jeune femme, Mamadou l’agrippe avant de la faucher. Celle-ci tombe et le «Jakartaman» commence à lui enlever ses habits. Lorsque la fille se rebiffe, le jeune homme n’hésite pas à déchirer sa jupe, sa petite culotte et son soutien-gorge.
Après lui avoir administré quelques gifles, il lui met du sable sur le visage, dans la bouche et aux oreilles. N’empêche, Touty Pène continue de résister. C’est sur ces entrefaites que surgit une voiture. Pris de panique alors, Mamadou Mor Sarr prend le téléphone portable et quelques affaires de sa cliente avant de s’enfuir. Mais dans sa fuite, il perd son bracelet sur lequel sont inscrites les initiales «Mor.S».
Après avoir été secourue, Touty Pène ramasse le bracelet de son agresseur qu’elle dépose à la police et porte plainte pour vol et tentative de viol.
Grâce aux réquisitions de la police faites auprès de la Sonatel, le téléphone portable de Touty Pène est retrouvé chez la mère de Mamadou Mor Sarr. Interrogée, celle-ci déclare qu’elle l’a reçu de son fils. Dans la foulée, elle affirme que le bracelet appartient à son fils.
Ce que l’accusé a catégoriquement nié à la barre malgré la déposition faite par Touty Pène, qui l’a formellement identifié.
Changeant plusieurs fois de versions, Mamadou Mor Sall indique qu’il a acheté le téléphone à Saint-Louis, deux mois auparavant.
La Cour a reconnu Mamadou Mor Sarr coupable de tous les crimes dont il est accusé, avant de le condamner à 15 ans.
L’As