Pour défendre son budget, Abdoulaye Diouf Sarr soulignera que d’importantes actions ont été menées dans le sens de la mise aux normes des structures de santé et de protection sociale, de la résorption des gaps en ressources humaines et plus globalement, du renforcement du plateau technique.
Dégageant les perspectives pour 2022, Abdoulaye Diouf Sarr a souligné que son département, entre autres actions, compte poursuivre la mise en œuvre du Plan national de Développement sanitaire et social, qui met l’accent sur la lutte contre les maladies comme la Covid-19.
Il a par ailleurs annoncé la poursuite de la décentralisation du SAMU, l’évaluation des projets de l’action sociale ainsi que la promotion du partenariat entre les établissements publics et les privés qui représentent au moins 47% de l’offre de soins.
Avec une plaidoirie tournant essentiellement autour de l’installation et la fonctionnalité d’infrastructures, les parlementaires ont tour à tour prêché en faveur de leurs régions et communes respectives.
« Les questions relatives à la pandémie »
Le Sénégal compte à ce jour plus de 1.326.633 personnes vaccinées. Un autre appel a été lancé par Abdoulaye Diouf Sarr par rapport à la vaccination. C’est pour lui le lieu de préciser que tous les vaccins sont disponibles au Sénégal, sauf le vaccin « Moderna ».
Par rapport au nouveau variant Omicron, le ministre de rassurer que le Sénégal est en train de se préparer en matière de prévention.
« Nous prenons toutes les mesures nécessaires, que ce soit au niveau des frontières ou des structures médicales », dira-t-il, avant de poursuivre que « la possibilité d’entamer l’injection d’une troisième dose de vaccin n’est pas exclue des stratégies de prévention concernant la lutte contre la pandémie à covid-19.»
« Dans la dynamique d’accéder à une souveraineté sanitaire, le Sénégal a décidé d’être un champion dans la production de vaccins », a ainsi assuré le ministre, suite aux interrogations des députés sur la gestion de la covid-19.
Dégageant les perspectives pour 2022, Abdoulaye Diouf Sarr a souligné que son département, entre autres actions, compte poursuivre la mise en œuvre du Plan national de Développement sanitaire et social, qui met l’accent sur la lutte contre les maladies comme la Covid-19.
Il a par ailleurs annoncé la poursuite de la décentralisation du SAMU, l’évaluation des projets de l’action sociale ainsi que la promotion du partenariat entre les établissements publics et les privés qui représentent au moins 47% de l’offre de soins.
Avec une plaidoirie tournant essentiellement autour de l’installation et la fonctionnalité d’infrastructures, les parlementaires ont tour à tour prêché en faveur de leurs régions et communes respectives.
« Les questions relatives à la pandémie »
Le Sénégal compte à ce jour plus de 1.326.633 personnes vaccinées. Un autre appel a été lancé par Abdoulaye Diouf Sarr par rapport à la vaccination. C’est pour lui le lieu de préciser que tous les vaccins sont disponibles au Sénégal, sauf le vaccin « Moderna ».
Par rapport au nouveau variant Omicron, le ministre de rassurer que le Sénégal est en train de se préparer en matière de prévention.
« Nous prenons toutes les mesures nécessaires, que ce soit au niveau des frontières ou des structures médicales », dira-t-il, avant de poursuivre que « la possibilité d’entamer l’injection d’une troisième dose de vaccin n’est pas exclue des stratégies de prévention concernant la lutte contre la pandémie à covid-19.»
« Dans la dynamique d’accéder à une souveraineté sanitaire, le Sénégal a décidé d’être un champion dans la production de vaccins », a ainsi assuré le ministre, suite aux interrogations des députés sur la gestion de la covid-19.